Parce qu’il n’y a pas que la politique, la crise, les nazes, les mauvaises nouvelles, un monde qui marche à l’envers et le plus grand braquage de tous les temps qui n’en finit pas de tous nous ruiner, je me suis laissé entraîner par de drôles de fréquentations bloguesques dans une petite aventure d’écriture collective.
Pour se changer les idées, le début de mon cadavreski, rien que pour vous. Et si ça vous a plu, vous pouvez vous goinfrer tout le bouquin.