Je ne voulais pas en parler mais, devant le raz-de-marée des postures bien-pensantes, je sors de mon silence juste le temps de préciser 2 ou 3 choses.
J’avais déjà pas mal dit de choses à ce sujet il y a un an. Mais les fausses évidences marquent plus les esprits, surtout quand elles sont du registre des préjugés, des bas instincts et non des réflexions construites, élaborées dans un perpétuel questionnement du monde.
Il est toujours aussi difficile de trouver un bon titre qui parvient à raconter toute une histoire en trois mots maximum. J’avais aussi pensé à Sex and the TV ou La parité n’est pas pour demain.
Tout ça pour en venir à la fausse affaire Marie Drücker qui, pour le coup, soulève une vraie question.
Je vous avais déjà dit combien j’estime Le Grand Gourou Swâmi Petaramesh. Et si ce n’est pas encore le cas, voici l’occasion de remettre le couvert et de chanter ses louanges.
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