On peut toujours envisager de laisser le champ libre aux économistes libéraux élevés en batterie. Ou alors, on relève le gant du défi, on monte sa propre théorie des salaires et on leur rafle pour une fois le pactole du Nobel sous le nez.
Surtout qu’on en a forcément plus besoin qu’eux!
Il est toujours aussi difficile de trouver un bon titre qui parvient à raconter toute une histoire en trois mots maximum. J’avais aussi pensé à Sex and the TV ou La parité n’est pas pour demain.
Tout ça pour en venir à la fausse affaire Marie Drücker qui, pour le coup, soulève une vraie question.
Parce qu’il n’y a presque plus de poilus encore en vie, cette année encore, on risque de nous rejouer le couplet sur l’utilité d’une commémoration qui n’a plus de témoins.
Journée de la femme… Et pourquoi pas une semaine, une année, une éternité des femmes, de toutes les femmes, et pas juste des archétypes pour morale bien-pensante?
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