Depuis le début du mois, c’est un peu comme si nous étions tous enfermés dans le château de la Belle au bois dormant, mais la semaine à venir devrait être encore plus calme, entre les vacances qui paralysent tout et les Jeux olympiques qui vont phagocyter une information pourtant déjà des plus indolentes.
La force du nombre
Il y a un mois se tenaient les Rencontres Mondiales du Logiciel Libre, sympathique réunion de manchots venus de partout débattre, partager, apprendre, pratiquer, du côté lumineux du clavier.
Parce qu’une autre Europe existe déjà
Il y a des gens qui pensent que ceux qui ont voté contre le TCE sont contre l’Europe. Pourtant, c’est tout le contraire. C’est parce que je suis une pro-Européenne primaire que je n’ai jamais pu accepter de voir brader ce qui fait aussi profondément partie de chacun d’entre nous.
Vent mauvais
« Pour éviter les conflits avec les principaux groupes d’intérêt, les gouvernements peuvent, dans un premier temps, introduire des réformes à la marge du “noyau dur” du marché du travail, sans véritablement toucher aux structures institutionnelles dont bénéficient les travailleurs en place. Cela tend à renforcer la dualité du marché du travail, ce qui peut ensuite permettre de gagner progressivement le soutien de l’opinion publique à des réformes plus fondamentales des institutions et politiques du marché du travail. »
Citation de l’OCDE, dans Économistes en guerre contre les chômeurs, Le Monde Diplomatique, décembre 2006
La tentation du pire
Indignations, frustrations, colère et impuissance : un bien mauvais cocktail d’émotions nous étreint face à la grande récession sociale alimentée chaque jour un peu plus par les coups bas de nos dirigeants, à peu près partout dans le monde.
Et mon cul sur ton nez, ça te fera une paire de lunettes à rationalité économique?
Eh oui, les prolos sarkozystes devraient être un peu chafouins ces derniers temps et pourtant la grande entreprise d’équarissage en gros Sarko- Fillon n’en est qu’à son galop d’essai. Tu as fini ton pain blanc, tu commences déjà à regretter ton pain bis, voilà venue l’heure de la brioche!
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