Une fois n’est pas de coutume, je publie ici l’intégralité d’un texte que j’ai écrit pour le Petit Journal du Gers.
Parce qu’il est important de voir que cette histoire de fermeture de classe n’est pas la chronique d’un village de campagne peuplé d’irréductibles Gascons ronchons et sanguins, mais bien l’illustration de la lutte contre les fossoyeurs de l’idée même de République, une et indivisible, creuset de liberté, d’égalité et de fraternité entre tous et envers les générations futures.
Bien plus qu’un improbable agglomérat humain, la file d’attente est un objet sociologique à part entière et un désagrément de la vie quotidienne quasiment incontournable.
Avant-hier, le téléphone m’a sorti de ma sieste. C’était le voisin de ma grand-mère qui m’annonçait que ses volets étaient restés fermés toute la journée.
Commentaires récents