Parce qu’il faut prendre parti
Il est bon de dénoncer, de s’insurger, de râler, de pointer du doigt, d’ouvrir le débat, de changer les points de vue, de tordre le coup aux évidences et aux a priori, de secouer le cocotier, de jouer du tamtam dans la volière, de foutre un gros bordel ou même de cracher en l’air histoire de voir si cela fera des ronds dans l’eau en retombant, mais il arrive toujours le temps de l’engagement.
Le beurre, l’argent du beurre…
Hier soir, je me ballade sur le site Altermonde de mon ami Jean Dornac et je m’aperçois qu’il a réussi à récupérer tous les textes que j’avais écrit chez lui et qui avaient été victimes d’un krash de sa base de données. Un vrai boulot de titan!
C’est ainsi que, par pure perversion, j’en ai relu quelques uns. J’ai retenu celui-ci, qui date de juillet 2004 et que la situation actuelle éclaire de manière intéressante.
Le salarié au sifflet
Poursuivons notre petite exploration des joyeusetés du salariat contemporain, avec, aujourd’hui, cette merveille du capitalisme contemporain qu’est le concept du salarié au sifflet.
My secretary is rich
On peut toujours envisager de laisser le champ libre aux économistes libéraux élevés en batterie. Ou alors, on relève le gant du défi, on monte sa propre théorie des salaires et on leur rafle pour une fois le pactole du Nobel sous le nez.
Surtout qu’on en a forcément plus besoin qu’eux!
Le précariat contre le salariat.
Trente ans de chômage de masse, trente ans de sigles cabalistiques, trente ans de contrats précaires au rabais et une situation de l’emploi qui empire malgré tout.
Malgré tout… ou grâce à
?
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