L’autre jour, sur Facebook, le réseau social où l’on a que des amis, quelqu’un faisait remarquer qu’en France, les troquets étaient plus ou moins désertés.
Bien sûr, il y a désaffection et désaffection. Il y a toujours des bistrots emblématiques plantés sur les voies de migration des touristes qui ne désemplissent pas, mais globalement, avec un petit kawa facilement à 2 € (13 balles, quand même !), il y a bien des estaminets qui dépérissent dans notre beau pays, aussi animés qu’un bureau de l’UMP un soir de régionales.
Si vraiment, vraiment, vous ne pouvez réfréner vos pulsions votationnelles, s’il vous faut absolument choisir l’un plutôt que l’autre pour vous sentir heureux, alors, n’hésitez plus et…
Je pensais rester chez moi, comme d’habitude, pour faire des choses intéressantes, mais l’occasion était trop belle de se raffermir le jarret tout en m’exprimant… à ma façon.
Samedi matin, Le Monolecte a manqué disparaître de la Toile. Pour de bon. J’avais le doigt sur la gâchette, mais je me suis laissé deux jours de réflexion sur la question de l’intérêt de laisser ce blog continuer à fonctionner.
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