Et bien oui, toujours là, comme une vieille tique féroce qui aurait planté ses crochets dans le cul d’un chien galeux. Mais voilà, il faut bien vivre, et l’essentiel de mon effort de guerre se focalise aujourd’hui à travailler toujours plus (doit être l’heureux, l’autre jean-foutre !) pour juste faire face aux dépenses quotidiennes, comme le fuel, qui a pris 20 % depuis que nous sommes arrivés, il y a 6 mois, au seuil de l’hiver… qui n’en finit pas, en plus !