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Les bonnes résolutions

Par Agnès Maillard
12 janvier 2005

Bonjour, je m’appelle Agnès et je suis fumeuse abstinente depuis 2 ans, 8 mois et 12 jours. Pour ceux qui ont envie d’en finir avec la clope, je veux bien être votre marraine du Net.

Les mois de décembre appellent au bilan, les mois de janvier inspirent les bonnes résolutions. L’une des plus courues en ce moment, c’est d’arrêter de fumer. Mais voilà, on n’arrête pas le tabac aussi facilement que l’on trinque au champagne pour fêter la bonne année. La clope est une drogue, une bien dure et bien tenace et arrêter de fumer demande une motivation en béton. Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un sevrage, il faut décrocher, au même titre qu’un drogué à la cocaïne ou à l’héro ou qu’un alcoolique. Et tout comme un alcoolique ou un drogué, il n’y a pas vraiment de guérison, juste la capacité à rester abstinent. Arrêter de fumer est le combat d’une vie!

C’est décidé, demain j’arrête!

Cela fait des années que vous tirez avec entêtement sur votre mégot, que vous vous shootez à la nicotine, des années que vous gardez un œil vigilant sur l’état de votre stock (surtout, ne jamais manquer!), des années que la clope rythme chaque heure ou presque de votre existence. Presque un réflexe, un automatisme, elle occupe vos mains, votre bouche. Elle vous détend, vous rassure, c’est votre petite bouée contre le stress.
Mais voilà, ça coûte cher, ça pue, ça vous fait une peau de phoque et des chicots à la place des dents, vous soufflez comme un âne asthmatique au bout de 3 marches, vous pouvez acheter toute votre bouffe chez Ed l’épicier, vu que vous avez perdu jusqu’au souvenir du goût, vous intoxiquez vos proches, votre meilleur ami suffoque dans ses glaviots et votre cousin s’est fait bouffer par le crabe… bref, ça commence à vous peser sérieusement, la clope.

Vous aimeriez bien arrêter, c’est votre bonne résolution de l’année. Comme l’année dernière, où vous avez tenu… 4 jours. Qu’importe les échecs, ils vous permettent d’apprendre et de vous améliorer sur le long chemin qui conduit à la vie sans clope.

1. Trouvez votre motivation profonde!

En avoir marre de fumer est une bonne raison d’arrêter de fumer, mais elle n’est pas suffisante en soit.
Le sevrage tabagique est une épreuve longue et difficile, où les tentations et les rechutes sont légion. Quoi qu’en disent les publicitaires du juteux marché du sevrage tabagique, rien n’est facile. Et pour tenir le cap dans les moments de manque ou de doute, il vous faut une motivation en béton armé, bien profonde, qui s’impose à vous. Et en avoir marre de fumer n’est pas suffisant en soit.
Vous vivez depuis longtemps avec la clope, elle fait partie de vous, de votre personnage social comme de votre vie intime. Si beaucoup de clopes sont désormais dégueulasses et sans goût, il en reste quelques-unes que vous appréciez par dessus tout : celle du petit matin calme, celle après l’amour, celle après un bon repas, celle qui accompagne l’apéro, celle qui vous calme au boulot, celle que vous partagez avec un ami, celle qui souligne le goût du petit expresso bien serré! Pour dire adieux à toutes ces cigarettes-là, il faut que votre motivation d’en finir soit forte.

  1. L’argent : La politique actuelle de santé publique consiste à augmenter sans cesse le coût du tabac, dans l’idée de le rendre financièrement insupportable. Pour ma part, je suis pingre comme pas deux, et pourtant, l’argent n’a pas été ma motivation principale. Cette politique de prix fort peut éventuellement dissuader un jeune de s’y mettre, et encore, rien n’est moins sûr. La clope pèse d’autant plus lourd sur les petits budgets et les prix ne changent en rien les habitudes des fumeurs de Dunhill. J’ai cependant connu une fille qui soutenait son effort de sevrage en déposant chaque jour dans une tirelire l’argent qu’elle aurait normalement du consacrer au tabac : la vitesse de croissance de sa cagnotte lui a soutenu le moral dans les périodes les plus noires et pour fêter sa première année d’abstinence, elle s’est offert un truc somptueux avec l’argent de la tirelire.
  2. La santé : Le gros de la campagne anti-tabac est orienté autour du thème de la santé, voire de la survie. Pourtant, chaque fumeur voit continuellement sur ses paquets que le tabac tue, file le cancer, donne des maladies graves et fait le zizi tout mou, mais il continue de téter son clou de cercueil avec une belle obstination. Les maladies, c’est un peu comme les accidents de la route, on a toujours l’impression un peu floue mais solidement ancrée en nous que ça arrive surtout aux autres. Jusqu’au moment où ça nous tombe sur le paletot, mais là, c’est déjà trop tard, et les perfusions égrennent nos regrets jusqu’à notre dernier souffle rauque!
    J’ai un ami pour qui l’idée de survie a été le facteur déclenchant. Il fumait plus de 60 cigarettes par jour, toussait comme un perdu, vomissait tous les matins son jus de clopes, il pesait 130 Kg et malgré tout, il continuait. Un jour, sa femme est tombée enceinte. Il a compris que dans cet état, non seulement il était incapable de la soutenir dans sa grossesse, mais surtout, qu’il risquait de ne pas voir grandir son gosse. Cette prise de conscience a été radicale : il a arrêté du jour au lendemain, a perdu près de 50 Kg dans l’élan, s’est remis au sport. Il a changé de vie et profite maintenant de sa petite fille et de la vie.
  3. La liberté : fumer est une contrainte, un besoin. Dès les premières bouffées, nauséeuses et toussoteuses, la dépendance s’installe. Je n’aime pas être dépendante. J’aime avoir le choix, et avec la clope, la dépendance est tellement forte que je n’ai pas le choix. Ce qui m’a décidée d’arrêter de fumer dans un premier temps, c’est l’excellent film Révélations.
    Tiré d’une histoire vraie, ce film raconte les méthodes de mafieux des industriels du tabac : études truquées, scientifiques soudoyés, cadres menacés s’ils osent rompre la loi du silence, politiques corrompus, procès éteints à grands coups de dollars : chacune de nos bouffées alimente la colossale fortune de l’industrie de la mort! Les multinationales du tabac vendent des produits toxiques et le savent. Elles passent leur temps à essayer d’élargir leur clientèle et n’hésitent pas à aller tapiner devant les écoles, comme n’importe quels petits dealers pour rendre accrocs les gosses toujours plus jeunes. Dans les pays émergents où la loi est plutôt celle de la jungle, tout les coups sont permis et les vendeurs de mort en fumée en profitent pour ajouter leur drogue à tous les problèmes qui rythme la survie dans les pays pauvres. La composition des jus, additifs ajoutés au tabac, est gardée secrète et même les organismes de contrôle ne doivent pas en chercher la composition. Les jus améliorent le goût du tabac, le rendent plus accessible, mais surtout contiennent de nombreux adjuvants toxiques comme l’ammoniac, dont le rôle est de faciliter l’absorption de nicotine par l’organisme et d’en rendre l’effet plus violent, plus rapide, d’accélérer et d’intensifier la dépendance. Des méthodes de trafiquants de drogue, donc!
  4. La vie des autres : le tabac ne fait pas que vous raccourcir la vie, il pourrit aussi celle des autres, de votre entourage, de vos proches. Si j’avais drastiquement réduit ma consommation après avoir vu Révélations, je conservais tout de même l’habitude des bonnes clopes, soit environ 3 ou 4 par jour. Puis, je suis tombée enceinte. A la première échographie, la gynécologue m’a appris qu’à chacune de mes bouffées de poison, mon fœtus arrêtait de respirer. Chacune de mes inspirations de clope entraînait une apnée de ce qui allait devenir ma fille. Je voulais un bébé, pas un Jacques Mayol. J’avais le droit de me tuer comme je l’entendais, mais imposer cela à mon enfant était moralement indéfendable.

Ce jour là a été le premier de ma vie sans tabac!

A suivre…

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17 Commentaires

  1. Connais-toi toi-même

    Ca y est, vous vous êtes trouvé au moins une bonne raison d’arrêter de fumer et vous vous demandez avec angoisse comment vous allez vous y prendre. L’industrie du sevrage tabagique se porte presque aussi bien que celle du tabac : patches, gommes à…

    Réponse
  2. Cest fou comme un mot peut en entrainer d’autres….
    Comme le disait une publicité :
    je ne fume pas,
    je ne bois pas,
    mais je suce……….
    du sucre des vosges -Moi je ne fume pas, je liche un peu et par ailleurs, j’étais déja un obsédé durable de nombreuses années avant l’invention des techniciens de surface –
    Ceci pour vous dire qu’il faut se méfier de tout et surtout des mots –
    Que les sourds soient devenus des mal-entendants et les aveugles des mal-voyants bof ça fait plaisir a ceux qui sont payés à la ligne –
    Mais croyez vous que tous les couche-tôt
    soient des mal"veillants" ?

    Réponse
  3. Bonjour,

    Léon, 23 ans de clope, clopeur total (le genre a faire un clope avec trois megots les jours de penurie…).

    J’ai absolument tout fumé. De la Boyard Maïs, du cigarillo calabrais d’un autre siecle (noir, toxique, puissant a crever…, de la Kim evanescente a sucoter, bref: TOUT.

    J’ai arrete depuis un an et demi et il faut dire une chose tres simple avant toute chose.

    C’est tres facile d’arreter de fumer !!!

    Ne pas reprendre est un peu plus dur mais c'est tres "gérable".

    Alors un peu d’espoir amis fumeurs.

    D’autre part il faut bien comprendre que fumer ou ne pas fumer ne change à votre vie, vous etes juste un peu plus calme pour la vivre et l’envisager.

    En revanche votre sante et votre humeur prennent un coup de soleil.

    Bien a vous,

    Léon

    Réponse
  4. Bonjour Léon, je crois que tu as bien résumé la situation : le plus dur, c’est de ne pas rechuter.
    La bonne nouvelle, c’est que plus on tient, plus on a de chance de tenir : ça fait plus de 3 ans que je ne fume plus du tout, je ne compte plus les mois, en fait, la plupart du temps, je n’y pense pas du tout. Je n’ai plus de pulsions graves, que ce soit avec des fumeurs ou quand je suis exposée à un grand stress, à un café, ou n’importe quoi d’autre qui me faisait fumer avant. Des fois, j’ai presque l’impression de n’avoir jamais fumé!
    Libertad!

    Réponse
  5. Le facteur argent n’était pas prépondérant pour me faire arrêter.

    En revanche le sentiment d’être dépendant à cette saloperie et l’envie de retrouver ma liberté a été trés fort.

    Et puis j’avais vu à la télé une émission où l’on voyait une personne à qui on avait fait une laryngotomie pour cause de cancer dû au tabac. Cette personne fumait encore par l’orifice qui lui servait à respirer au niveau de la base du cou !

    A ce moment là j’avais 35 ans, une fille de 4 ans, et je comptais vivre vieux et en bonne santé !

    Comme toi, j’ai l’impression de ne jamais avoir fumé, j’étais un autre à cette époque.

    Réponse
  6. je voudrais arreter de fumer .Donnez moi des solutions

    Réponse
  7. Bonjour,

    Bravo pour ton arret qui semble etre un succes…
    Perso, j’ai arreter de fumer depuis 2 mois avec la cigarette électronique. J’ai ouvert un blog dessus pour partager mon experience
    Mon blog :
    http://arreter-fumer-cigarette-elec

    Réponse
  8. Coût du tabac en fonction de l’année
    Taux d’augmentation moyen: 12% par an
    Base: 17 cigarettes par jour

    Colonne 1: Année
    Colonne 2: Coût pour l’année
    Colonne 3: Cumul depuis 2002
    Colonne 4: Ce qu’on peut ou aurait pu faire avec cet argent

    PS: Ce sont bien des montants exprimés en euros
    Té, le fumeur moyen, s’il avait arrêté de fumer en 2002, il aurait pu s’offrir une petite voiture pour 2008.

    2002 936,00 936,00 Un ordinateur; tout le budget mutuelle+assurance maison+licences sportives d’une année
    2003 1048,32 1984,32
    2004 1174,12 3158,44
    2005 1315,01 4473,45
    2006 1472,81 5946,27
    2007 1649,55 7595,82 Une petite voiture neuve
    2008 1847,50 9443,31
    2009 2069,20 11512,51
    2010 2317,50 13830,01
    2011 2595,60 16425,62
    2012 2907,07 19332,69
    2013 3255,92 22588,61
    2014 3646,63 26235,25
    2015 4084,23 30319,48
    2016 4574,34 34893,81
    2017 5123,26 40017,07
    2018 5738,05 45755,12
    2019 6426,61 52181,73
    2020 7197,81 59379,54
    2021 8061,54 67441,09
    2022 9028,93 76470,02 Un appartement F3 en banlieue de Toulouse
    2023 10112,40 86582,42
    2024 11325,89 97908,31
    2025 12685,00 110593,31
    2026 14207,20 124800,50
    2027 15912,06 140712,56 Une maison
    2028 17821,51 158534,07
    2029 19960,09 178494,16
    2030 22355,30 200849,46
    2031 25037,93 225887,39
    2032 28042,49 253929,88 Au bout de 30 ans, ce capital placé à 4% fournit un revenu annuel de 10000 euros …
    2033 31407,59 285337,47
    2034 35176,50 320513,96

    Réponse
  9. Coût du tabac en fonction de l’année
    Taux d’augmentation moyen: 12% par an
    Base: 17 cigarettes par jour

    Colonne 1: Année
    Colonne 2: Coût pour l’année
    Colonne 3: Cumul depuis 2002
    Colonne 4: Ce qu’on peut ou aurait pu faire avec cet argent

    PS: Ce sont bien des montants exprimés en euros
    Té, le fumeur moyen, s’il avait arrêté de fumer en 2002, il aurait pu s’offrir une petite voiture pour 2008.

    2002 936,00 936,00 Un ordinateur; tout le budget mutuelle+assurance maison+licences sportives d’une année
    2003 1048,32 1984,32
    2004 1174,12 3158,44
    2005 1315,01 4473,45
    2006 1472,81 5946,27
    2007 1649,55 7595,82 Une petite voiture neuve
    2008 1847,50 9443,31
    2009 2069,20 11512,51
    2010 2317,50 13830,01
    2011 2595,60 16425,62
    2012 2907,07 19332,69
    2013 3255,92 22588,61
    2014 3646,63 26235,25
    2015 4084,23 30319,48
    2016 4574,34 34893,81
    2017 5123,26 40017,07
    2018 5738,05 45755,12
    2019 6426,61 52181,73
    2020 7197,81 59379,54
    2021 8061,54 67441,09
    2022 9028,93 76470,02 Un appartement F3 en banlieue de Toulouse
    2023 10112,40 86582,42
    2024 11325,89 97908,31
    2025 12685,00 110593,31
    2026 14207,20 124800,50
    2027 15912,06 140712,56 Une maison
    2028 17821,51 158534,07
    2029 19960,09 178494,16
    2030 22355,30 200849,46
    2031 25037,93 225887,39
    2032 28042,49 253929,88 Au bout de 30 ans, ce capital placé à 4% fournit un revenu annuel de 10000 euros …
    2033 31407,59 285337,47
    2034 35176,50 320513,96

    Réponse
  10. Je tient a préciser une information. Même si beaucoup de sites de ventes en ligne le prétendent, la cigarette electronique ne permet pas d’arréter de fumer. Rien ne remplace la volontée. Cependant elle permet aux fumeurs de fumer dans les lieux publics (bars, restaurants et même avions !) depuis la nouvelle loi d’interdiction. Testé et approuvé 😉

    Réponse
  11. D’après une étude sud africaine récente. 45 % des cobayes ayant testé la cigarette électronique ont arreté le tabac en 8 semaines. Sur http://www.forum-ecigarette.com un sondage a été réalisé. Parmis les membres ayant répondu. 72% ont complétement arrété le tabac. Vivement de vrais études toxicologiques.

    Réponse
  12. En France, dès lors que le fabricant revendique une utilisation des cigarettes électroniques dans le sevrage tabagique, que la cartouche insérée contienne ou non de la nicotine, ces cigarettes électroniques sont soumises à l’autorisation de mise sur le marché (AMM). Il en est de même, sans allégation de sevrage tabagique, lorsque les cigarettes électroniques contiennent plus de 10 mg de nicotine. Or, à ce jour, aucun fabricant ou importateur ne dispose d’une AMM pour ce type de produits. Ils s’exposent donc aux sanctions prévues par la réglementation applicable aux médicaments. À la demande de la Direction générale de la santé (DGS), l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) procède à une évaluation approfondie des risques en prenant en considération les compositions, la pureté des substances chimiques inhalées par l’intermédiaire des cigarettes électroniques, les quantités délivrées au regard notamment des populations vulnérables telles que les personnes âgées et les femmes enceintes. Dans l’attente de données complémentaires, la plus grande prudence est recommandée aux utilisateurs de cigarettes électroniques.

    Réponse
  13. Bonjour,
    Juste pour vous faire partager une nouvelle méthode naturelle dont on parle de plus en plus :
    la méthode Maltapuff, je vous donne le lien :
    http://www.maltapuff.fr

    Réponse
  14. Bonjour,
    Juste pour vous faire partager une nouvelle méthode naturelle dont on parle de plus en plus :
    la méthode Maltapuff, je vous donne le lien :
    http://www.maltapuff.fr

    Réponse
  15. Bravo pour votre courage, j’ai moi-même arrêté lorsque je me suis mise au théâtre, c’était hyper difficile. Le pire c’est que j’ai dû recommencer pour le bien d’une pièce dans laquelle j’étais comédienne et où le personnage principal fumait… tu parles d’une bêtise.

    Réponse
  16. Toujours est-il que maintenant, à chaque fois que j’ai envie d’une cigarette, j’inspire une grande bouffée d’oxygène et c’est une jouissance infinie de réapprendre à respirer pour se donner de l’énergie plutôt que s’assassiner. Tous les matins, au lieu de fumer en buvant du café et parfois en écrivant un billet pour le blog, je sors marcher au Parc Monceau. Je hume à pleins poumons l’odeurs de la nature, la terre, les arbres, les fleurs. J’ai gagné un temps phénoménal. Fumer une cigarette dure six minutes. Multipliez par 20 et faites le compte. Fumer, c’est renoncer à faire autre chose. Refaites le calcul. Fumer, c’est une dose d’angoisse. Comptez toujours. Fumer, c’est une dépense. Comptez encore. J’ai acheté une robe, avec l’argent économisé, 130 euros en solde. Elle est vraiment jolie. Fumer, c’est une contrainte. Quelle libération de n’avoir plus à caler ses occupations sur les horaires de fermeture des bureaux de tabac ! Si vous imaginiez comme elle est bonne la bouffée d’oxygène que l’on aspire à pleins poumons à la sortie d’une réunion. Parce que c’était d’air pur que l’on manquait en réalité, et non pas de tabac. Voilà, arrêter de fumer n’est pas un sacrifice, encore moins une perte, c’est une liberté retrouvée.

    Lire tout le texte : http://laplumedaliocha.wordpress.com/2013/07/29/la-liberte-retrouvee-de-ne-pas-fumer/

    Réponse

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