Quand est-ce, la dernière fois, au juste, que vous vous êtes assis pour seulement regarder le monde autour de vous ? Je ne parle pas du ravissement qui peut nous étreindre à l'arrivée en haut de la moraine ou du "moment carte postale" que l'on s'impose chaque fois que l'on parvient à grands frais sur un site remarquable. Non, non. Je parle juste du fait de tout arrêter, de tout laisser tomber et...
Une très brève histoire du temps
Quand est-ce, la dernière fois, au juste, que vous vous êtes assis pour seulement regarder le monde autour de vous ? Je ne parle pas du ravissement qui peut nous étreindre à l'arrivée en haut de la moraine ou du "moment carte postale" que l'on s'impose chaque fois que...
Une très brève histoire du temps
Quand est-ce, la dernière fois, au juste, que vous vous êtes assis pour seulement regarder le monde autour de vous ? Je ne parle pas du ravissement qui peut nous étreindre à l'arrivée en haut de la moraine ou du "moment carte postale" que l'on s'impose chaque fois que l'on parvient à grands frais sur un site remarquable. Non, non. Je parle juste du fait de tout arrêter, de tout laisser tomber et...
Une très brève histoire du temps
Quand est-ce, la dernière fois, au juste, que vous vous êtes assis pour seulement regarder le monde autour de vous ? Je ne parle pas du ravissement qui peut nous étreindre à l'arrivée en haut de la moraine ou du "moment carte postale" que l'on s'impose chaque fois que l'on parvient à grands frais sur un site remarquable. Non, non. Je parle juste du fait de tout arrêter, de tout laisser tomber et...
Une très brève histoire du temps
Quand est-ce, la dernière fois, au juste, que vous vous êtes assis pour seulement regarder le monde autour de vous ? Je ne parle pas du ravissement qui peut nous étreindre à l'arrivée en haut de la moraine ou du "moment carte postale" que l'on s'impose chaque fois que l'on parvient à grands frais sur un site remarquable. Non, non. Je parle juste du fait de tout arrêter, de tout laisser tomber et...
Une très brève histoire du temps
Quand est-ce, la dernière fois, au juste, que vous vous êtes assis pour seulement regarder le monde autour de vous ? Je ne parle pas du ravissement qui peut nous étreindre à l'arrivée en haut de la moraine ou du "moment carte postale" que l'on s'impose chaque fois que l'on parvient à grands frais sur un site remarquable. Non, non. Je parle juste du fait de tout arrêter, de tout laisser tomber et...
Le complexe du fumiste
Plus que de marcher à côté de ses pompes, c’est le sentiment insurmontable qu’on ne les mérite pas.
L’invention du monde
Et si nous grandissions, juste pour voir ?
Zones blanches
De l’intérêt de se promener dans des expos photos avec une bande de jeunes, comme de nourrir une mise en abîme des états du logement sur ces 60 dernières années.
Le paradoxe démocratique
Ha, quelle bonne idée que de tirer à vue sur les Gitans, les métèques et les délinquants en culottes courtes ! C’est ce que l’on pourrait appeler une arme de diversion médiatique massive qui vient de faire passer l’affaire Woerth directement aux oubliettes. Et c’est bien dommage, parce que l’on touchait là au cœur du système !
Même pas en vacances
La leçon de morale de monsieur Attali
En temps normal, je ne perds pas mon temps sur ce genre de papier dont le principal intérêt est de faire mousser son auteur avec l’exubérance d’un blaireau plongé dans un océan de savon à barbe.
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