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25 novembre 2010

25 novembre 2010 : fête de la dinde aux USA et première journée nationale contre les violences faites aux femmes en France.
Aucun lien.

Fantasme

La lutte contre la violence faite aux femmes a été déclaré « grande cause nationale 2010 » par le gouvernement. La loi du 9 juillet 2010, qui accentue les mesures de prévention et de protection des femmes, a institué en France une « journée nationale de sensibilisation aux violences faites aux femmes », organisée désormais chaque 25 novembre, le même jour que la journée internationale de l’ONU.
Une journée nationale contre les violences faites aux femmes, Le Monde, 25 nombre 2010

Résultat des opérations : une campagne médiatique totalement axée sur le viol et une sorte de happening zarbi où les femmes qui veulent manifester leur ralliement à la bonne cause sont invitées à se trimballer en jupe une journée où la météo incite clairement à l’emmitoufler dans une combinaison de ski.

Affligée, je suis, et je ne suis pas la seule.

Parce que j’ai l’impression d’assister à une compilation de gadgets communicants plutôt indigestes qui prennent bien soin de n’effleurer que la surface du problème sans rien remettre en question. Oui, taper sur une femme, ce n’est pas bien; la violer, ce n’est pas mieux; l’insulter, ça craint… Oui, oui, enfilons des perles et des banalités et comme d’habitude, offrons-nous une bonne consience politique à moindre frais sur cette question comme sur toutes les autres.

Les femmes ne cessent d’occuper une place infériorisée sur le marché du travail notamment du fait d’une minoration voire d’une négation des compétences dont elles disposent ou qui sont nécessaires pour occuper ces emplois. Qu’il s’agisse des secteurs les plus techniques où elles sont très minoritaires ou des secteurs dits des services aux personnes où elles sont au contraire largement majoritaires, on retrouve à l’œuvre cette même logique discriminante. Ces conditions de travail et d’emploi des femmes ont, par ailleurs, des conséquences spécifiques sur leur santé, physique et psychique.
Travail des femmes et égalité professionnelle

Parce que, par ailleurs, continuer à payer systématiquement les femmes moins cher que les hommes, leur imposer plus facilement des temps partiels et des salaires-plancher qui les maintiennent durablement sous la ligne de flottaison de la pauvreté et les rendent le plus souvent particulièrement fragiles et dépendantes, ça, tu vois, aujourd’hui, on n’en parle pas. Comme on ne parle pas de la femme comme objet offert à la convoitise marchande, pour nous fourguer des bagnoles, des perceuses ou des fusils d’assaut. Comme on ne parle pas de la femme comme la somme des trous à posséder et à fourrer le plus virilement possible dans l’industrie pornographique, aujourd’hui la première source d’information des ados sur le sexe-mode-d’emploi.

La violence contre les femmes, ça fait surtout chier quand ça laisse des traces. Parce que socialement parlant, cette violence des mentalités et des conditions de vie qui s’exercent chaque jour contre les dominés du système où les femmes sont sur-représentées, c’est autre chose, c’est un autre problème.

Sauf que je ne vois pas les choses comme cela. Les coups, le viol, les salaires honteux, le harcèlement au boulot, dans la rue, à la maison, tout cela participe de la même chose, d’une logique de domination complaisamment mise en scène chaque jour, partout, tout le temps. Entre la femme offerte et l’homme qui se pense au libre-service, finalement, ce n’est qu’un tout petit pas sémantique à faire, une petite main au cul, un coup de sifflet dans la rue, un rire gras et la foi en sa supériorité physique et sociale pour exercer son pouvoir sur l’autre, la victime institutionnelle.

Rien que sur la question du viol : La honte doit changer de camp.

Franchement, je m’en fous que le violeur ait honte. Le plus souvent, il ne se rend même pas compte qu’il a violé, tant il se pense légitime dans le rôle survalorisé du mâle alpha de la meute. Alors, la honte…
Par contre, cela me plairait bien que les hommes cessent de voir les femmes comme des victimes potentielles, que ce soit les prédateurs, bien évidemment, tout comme les amis, maris, frères et autres protecteurs. Toujours ce statut d’infériorité, cette ouverture intrinsèque vers la domination, qu’elle soit hostile ou amicale.

Pour avoir été victime d’un prédateur sexuel relativement fier de l’être, je crois surtout à la pédagogie du coup de pied dans les couilles, la simple idée que femme ≠ de victime; femme ≠ proie facile; que tenter de dominer une femme peut être aussi risqué qu’avec un homme et peut se solder par une grosse tête et une démarche ridicule. Quelque chose de l’ordre du changement de paradigme, de représentation sociale de la femme dans l’ensemble du corps social : quelqu’un qui peut se défendre, quelqu’un qui compte, quelqu’un qui vaut autant que l’autre, quelqu’un à qui il convient de demander poliment ce que l’on désire au lieu de l’exiger ou de se servir.

Autrement dit, nous gagnerons la bataille de la violence physique en apprenant à nous défendre et en devenant collectivement redoutables, tout comme nous gagnerons la guerre de la violence institutionnelle en refusant les rôles d’éternelles secondes qui nous sont habituellement réservé!

128 Commentaires

  1. Bien envoyé (le coup de pied) ! Et tu as raison, c’est pas une journée pour se mettre en jupe !

    Réponse
  2. Bien envoyé (le coup de pied) ! Et tu as raison, c’est pas une journée pour se mettre en jupe !

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  3. Même si la grande cause de ce jour partait d’une bonne intention, j’appuie le point de vue que tu défends.
    Il me semble que le Che disait: "Soyons réalistes, exigeons l’impossible".

    Réponse
  4. Même si la grande cause de ce jour partait d’une bonne intention, j’appuie le point de vue que tu défends.
    Il me semble que le Che disait: "Soyons réalistes, exigeons l’impossible".

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  5. Au coup de pied, je préfère le coup de genou, assez facile finalement, surtout en position rapprochée.
    Je me souviens d’une copine, on travaillait dans la même boîte, on habitait le même quartier un peu chaud. on rentrait tard quand on était d’équipe du soir. Elle m’avait expliqué qu’elle avait toujours en poche (et en main) une paire de ciseaux: si on t’emmerde, tu frappe au visage, le mec insiste pas. Et comme, victime de ma "bonne" éducation, je disais que j’oserais pas, c’est bête, j’aurais peur de faire mal, elle m’avait dit: alors un trousseau de clés (les anciennes clés, assez longues pour dépasser du poing fermé). Ça fait moins de dégâts, mais si tu frappes assez fort, la dissuasion est la même.

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  6. Il me semble avoir entendu la gauchosphère s’indigner d’une émission, sans doute diffusée sur TF1, dans laquelle on voyait une jeune demoiselle revendiquer employer ses journées à terroriser son violeur.

    Les gentils fonctionnaires de justice avaient beau essayer de lui expliquer que c’était mal, on avait pas le sentiment que ça touchait beaucoup cette dangereuse victime.

    C’est peut-être ça qu’il faut chercher à être quand on est victime : devenir dangereux. La résignation n’est qu’une invitation à la récidive du bourreau.

    Réponse
  7. Il me semble avoir entendu la gauchosphère s’indigner d’une émission, sans doute diffusée sur TF1, dans laquelle on voyait une jeune demoiselle revendiquer employer ses journées à terroriser son violeur.

    Les gentils fonctionnaires de justice avaient beau essayer de lui expliquer que c’était mal, on avait pas le sentiment que ça touchait beaucoup cette dangereuse victime.

    C’est peut-être ça qu’il faut chercher à être quand on est victime : devenir dangereux. La résignation n’est qu’une invitation à la récidive du bourreau.

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  8. Arrivée ici via Gaëlle… et franchement d’accord avec toi.
    Comme quoi, finalement, cette ridicule journée de la jupe aura au moins fait parler, s’engueuler, dialoguer, et peut-être aussi réfléchir.

    Alors, pas si con finalement, cette énième journée de quelque chose, ou de quelque cause… ;o)

    Réponse
  9. Arrivée ici via Gaëlle… et franchement d’accord avec toi.
    Comme quoi, finalement, cette ridicule journée de la jupe aura au moins fait parler, s’engueuler, dialoguer, et peut-être aussi réfléchir.

    Alors, pas si con finalement, cette énième journée de quelque chose, ou de quelque cause… ;o)

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  10. Vous n’êtes pas frappée/e/s par le fait que sur cette immonde affiche la fille a les bout de seins qui pointent et le nombril à l’air, comme pour laisser entendre qu’au fond, elle l’a bien cherché ? Enfin, comme d’hab, quoi. Moi ça me fait hurler.

    Réponse
  11. Vous n’êtes pas frappée/e/s par le fait que sur cette immonde affiche la fille a les bout de seins qui pointent et le nombril à l’air, comme pour laisser entendre qu’au fond, elle l’a bien cherché ? Enfin, comme d’hab, quoi. Moi ça me fait hurler.

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  12. La châtaigne : "Pourquoi ça a des épines, les roses ? C’est joli, une rose…"
    La truite : "Moi, j’ai des arrêtes. Comme ça, quand on me mange, je pique la gorge !"
    La rose : "Oui, tu piques. Mais trop tard…"

    Tu as tout à fait raison. Faut taper, et AVANT. En tant que jeune garçon victime lui aussi, en son temps, d’un prédateur, j’ai vite appris le coup du trousseau de clé serré dans la main cachée dans la poche, avec les clés qui dépassent entre les doigts. Une fois je m’en suis servi, c’est radical. Et faut pas avoir peur de faire mal : c’est lui ou toi. Ce n’est que quand les hommes auront compris que les femmes ne sont pas ces petites choses fragiles qu’il faut protéger pour mieux les fourrer quand on en a envie que ça ira un peu mieux.

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  13. Très bon. Personnellement, je mets des jupes l’été. J’aime pas qu’on me force la main, pour les jupes, et le reste. Et en effet, beaucoup de banalités exprimées, concernant des sujets graves, bravo pour ce billet et le meilleur conseil qui soit, viser les couilles !

    Réponse
  14. Très bon. Personnellement, je mets des jupes l’été. J’aime pas qu’on me force la main, pour les jupes, et le reste. Et en effet, beaucoup de banalités exprimées, concernant des sujets graves, bravo pour ce billet et le meilleur conseil qui soit, viser les couilles !

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  15. La campagne mettant deux enfants en scène pour sensibiliser contre les violences conjugales me fait gerber.
    Pourquoi ne pas avoir mis en scène deux adultes puisque c’est de cela qu’il s’agit. Laisser entendre que les enfants reproduisent la violence des parents est abject car jusqu’à preuve du contraire, ce sont des hommes à plus de 90 % qui frappent leur compagne.

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  16. tutafé d’accord, la pédagogie du coup dans les couilles. D’ailleurs, je sors d’un cours boxe française + sensibilisation self défense 😉
    Le simple fait de retrouver des réflexes et de savoir où frapper si ça s’avère nécessaire confère une assurance déjà un peu protectrice. Maintenant, j’aimerai mieux n’avoir jamais à en arriver là… (à devoir mettre en pratique)

    Réponse
  17. tutafé d’accord, la pédagogie du coup dans les couilles. D’ailleurs, je sors d’un cours boxe française + sensibilisation self défense 😉
    Le simple fait de retrouver des réflexes et de savoir où frapper si ça s’avère nécessaire confère une assurance déjà un peu protectrice. Maintenant, j’aimerai mieux n’avoir jamais à en arriver là… (à devoir mettre en pratique)

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  18. Suffit pas de savoir où frapper …
    Je me souviens d’avoir été pris en stop par un type qui m’avait mis la main sur la cuisse ou j’avais eu un instant de panique totale 2 ou 3 seconde, paralysé j’étais, et je suis très loin d’être manchot .
    C’est ce petit instant qu’il faut passer, celui que sentent ce genre de mec et qu’il savent saisir .
    Le pôvre, lui, c’était juste un drageur maladroit …

    Réponse
  19. Suffit pas de savoir où frapper …
    Je me souviens d’avoir été pris en stop par un type qui m’avait mis la main sur la cuisse ou j’avais eu un instant de panique totale 2 ou 3 seconde, paralysé j’étais, et je suis très loin d’être manchot .
    C’est ce petit instant qu’il faut passer, celui que sentent ce genre de mec et qu’il savent saisir .
    Le pôvre, lui, c’était juste un drageur maladroit …

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  20. ben oui, évidemment… mais justement, apprendre à se défendre renforce l’assurance, le sang-froid ; le simple fait de penser qu’on est capable de réagir peut aider à réagir, plutôt que de rester comme un petit lapin pris dans les phares d’une voiture…

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  21. Ainsi, toutes les campagnes de pub qui font paraître les femmes (ou les enfants) comme des victimes potentielles seraient contre productives? Et l’atmosphère dramatique, le halo de monstruosité qui enveloppent violence contre les femmes et pédophilie n’auraient comme résultat que de procurer aux agresseurs cet instant de sidération qui fait qu’on se défend trop tard?

    C’est probablement tout ce qu’on peut attendre d’une société qui magnifie les victimes à condition qu’elles restent à leur place. Leur place de victimes.

    Réponse
  22. Ainsi, toutes les campagnes de pub qui font paraître les femmes (ou les enfants) comme des victimes potentielles seraient contre productives? Et l’atmosphère dramatique, le halo de monstruosité qui enveloppent violence contre les femmes et pédophilie n’auraient comme résultat que de procurer aux agresseurs cet instant de sidération qui fait qu’on se défend trop tard?

    C’est probablement tout ce qu’on peut attendre d’une société qui magnifie les victimes à condition qu’elles restent à leur place. Leur place de victimes.

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  23. yelrah: la seconde fois, tu ne seras plus aussi désarmée.

    Ce qui est regrettable, c’est qu’à force de nier le risque pour chacun de nous de subir des violences, on finit par juger antisocial de se préparer et préparer autrui à subir des violences et y répondre de manière proportionnée.

    Alors que si tu avais été aidée à envisager que cela pouvait t’arriver avant, tu n’aurais pas été surprise et tu aurais su réagir. Si vis pacem para bellum.

    Réponse
  24. yelrah: la seconde fois, tu ne seras plus aussi désarmée.

    Ce qui est regrettable, c’est qu’à force de nier le risque pour chacun de nous de subir des violences, on finit par juger antisocial de se préparer et préparer autrui à subir des violences et y répondre de manière proportionnée.

    Alors que si tu avais été aidée à envisager que cela pouvait t’arriver avant, tu n’aurais pas été surprise et tu aurais su réagir. Si vis pacem para bellum.

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  25. Mais qui voudrait vivre chaque jour de son existence dans la peur?

    Réponse
  26. J’ai travaillé dans des secteurs où penser en gros con de dominant est la norme. Et encore j’étais en formation. Du style maçonnerie, monde de mecs abrutis et pseudos-virils dont la joie est de se lever à 5h du matin pour montrer ensuite à tout le monde qu’on a les plus gros bras .
    L’institut de formation applaudissait à tout-va, la soumission et la domination dans le monde du travait semblent des valeurs habituelles, normales, qu’il faut faire absolument perdurer.
    La droite aime ça. Cette soumission aux impératifs du marché et cette domination imbécile dont ils ont besoin pour se croire quelquechose.

    Réponse
  27. J’ai travaillé dans des secteurs où penser en gros con de dominant est la norme. Et encore j’étais en formation. Du style maçonnerie, monde de mecs abrutis et pseudos-virils dont la joie est de se lever à 5h du matin pour montrer ensuite à tout le monde qu’on a les plus gros bras .
    L’institut de formation applaudissait à tout-va, la soumission et la domination dans le monde du travait semblent des valeurs habituelles, normales, qu’il faut faire absolument perdurer.
    La droite aime ça. Cette soumission aux impératifs du marché et cette domination imbécile dont ils ont besoin pour se croire quelquechose.

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  28. Pas mal pensé, pas mal dit. Plus de vérités en ces quelques phrases qu’il n’est possible de lire en quinze ans de féminisme gouvernemental, pour autant que ces deux mots ne s’excluent pas mutuellement.

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  29. pour revenir au monde du travail, tant que les femmes seront évaluées par des hommes (masculins), avec leur regard d’homme (masculin), leurs capacités seront toujours mal évaluées.

    moi ce qui me fait mal au cœur, c’est quand certaines femmes sont enfin arrivées à des postes à responsabilité, souvent en copiant les comportements masculins, se mettent à dévaloriser les autres femmes qui pourraient leur faire de l’ombre.

    tant qu’il n’y aura pas une forte proportion de femmes à tous les étages de la société (en particulier vers le haut), on ne fera que perpétuer ces comportements.

    Réponse
  30. pour revenir au monde du travail, tant que les femmes seront évaluées par des hommes (masculins), avec leur regard d’homme (masculin), leurs capacités seront toujours mal évaluées.

    moi ce qui me fait mal au cœur, c’est quand certaines femmes sont enfin arrivées à des postes à responsabilité, souvent en copiant les comportements masculins, se mettent à dévaloriser les autres femmes qui pourraient leur faire de l’ombre.

    tant qu’il n’y aura pas une forte proportion de femmes à tous les étages de la société (en particulier vers le haut), on ne fera que perpétuer ces comportements.

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  31. Oui, la femme est une victime institutionnelle. Ce qui me surprend ce n’est pas tant que l’on ait besoin de cette journée, bien qu’une manif en jupes à la Ste Catherine me semble zarbi, ni la communication. Non, c’est l’accélération dans le schéma d’exploitation après les années "libération", la mise en marché du corps, la mise au rabais des compétences. Je regarde la mise en quarantaine de ta copine "stypen" par ses propres consœurs en pleines années 80 avec douleur. Ce qui me surprend c’est qu’une loi qui rend l’IVG plus simple ne puisse pas s’appliquer sur le terrain. Ce qui me surprend c’est qu’il n’y ait qu’une femme Conseillère Général dans le Gers, département à gauche, si ça n’est pas une violence, ça, dans un département où les femmes sont partout dans le monde du travail, parfois sans statut et sans salaire et pas que chez des diminués de l’intellect. Faudra changer, la prévention ça commence au berceau.

    Réponse
  32. Oui, la femme est une victime institutionnelle. Ce qui me surprend ce n’est pas tant que l’on ait besoin de cette journée, bien qu’une manif en jupes à la Ste Catherine me semble zarbi, ni la communication. Non, c’est l’accélération dans le schéma d’exploitation après les années "libération", la mise en marché du corps, la mise au rabais des compétences. Je regarde la mise en quarantaine de ta copine "stypen" par ses propres consœurs en pleines années 80 avec douleur. Ce qui me surprend c’est qu’une loi qui rend l’IVG plus simple ne puisse pas s’appliquer sur le terrain. Ce qui me surprend c’est qu’il n’y ait qu’une femme Conseillère Général dans le Gers, département à gauche, si ça n’est pas une violence, ça, dans un département où les femmes sont partout dans le monde du travail, parfois sans statut et sans salaire et pas que chez des diminués de l’intellect. Faudra changer, la prévention ça commence au berceau.

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  33. "Du style maçonnerie, monde de mecs abrutis "
    saloperie de prolos…

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  34. "Du style maçonnerie, monde de mecs abrutis "
    saloperie de prolos…

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  35. L’article d’Agnès Maillard laisse croire que la campagne actuelle contre le viol serait le résultat d’une action ou volonté gouvernementale. Ce qui est évidement totalement faux puisque cette campagne a été lancée par 3 associations féministes qui n’ont aucune sympathie particulière pour ce pouvoir, bien au contraire.
    Elle indique également que cette action ne fait "qu’effleurer la surface du problème sans rien remettre en question." et que son objectif serait de "s’offrir une bonne conscience politique à moindre frais "
    Non seulement Agnès Maillard n’a visiblement pas pris la peine de se renseigner sur qui était derrière cette campagne mais elle n’en a même pas lu les objectifs.
    Pour information parmi ces objectifs, les 3 associations indiquent : "faire prendre conscience de l’ampleur du phénomène, pour que la société s’en saisisse comme d’un problème qui concerne tout le monde" ou encore "prendre conscience que ces faits n’ont rien de « naturel » : ils découlent de la domination des hommes sur les femmes – qui est un choix de société –",
    Désolé mais son programme pour changer les choses me parait un peu court et naïf : "je crois surtout à la pédagogie du coup de pied dans les couilles" ou encore .. "nous gagnerons la bataille de la violence physique en apprenant à nous défendre …"

    Dommage car sur le constat et sur le fond Agnès Maillard ne dit pas autre chose que les 3 associations à l’origine de la campagne contre le viol quand elle écrit : "Les coups, le viol, les salaires honteux, le harcèlement au boulot, dans la rue, à la maison, tout cela participe de la même chose, d’une logique de domination complaisamment mise en scène chaque jour, partout, tout le temps"

    Pour ma part j’ai évidemment signé la pétition contre le viol http://www.contreleviol.fr

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  36. L’article d’Agnès Maillard laisse croire que la campagne actuelle contre le viol serait le résultat d’une action ou volonté gouvernementale. Ce qui est évidement totalement faux puisque cette campagne a été lancée par 3 associations féministes qui n’ont aucune sympathie particulière pour ce pouvoir, bien au contraire.
    Elle indique également que cette action ne fait "qu’effleurer la surface du problème sans rien remettre en question." et que son objectif serait de "s’offrir une bonne conscience politique à moindre frais "
    Non seulement Agnès Maillard n’a visiblement pas pris la peine de se renseigner sur qui était derrière cette campagne mais elle n’en a même pas lu les objectifs.
    Pour information parmi ces objectifs, les 3 associations indiquent : "faire prendre conscience de l’ampleur du phénomène, pour que la société s’en saisisse comme d’un problème qui concerne tout le monde" ou encore "prendre conscience que ces faits n’ont rien de « naturel » : ils découlent de la domination des hommes sur les femmes – qui est un choix de société –",
    Désolé mais son programme pour changer les choses me parait un peu court et naïf : "je crois surtout à la pédagogie du coup de pied dans les couilles" ou encore .. "nous gagnerons la bataille de la violence physique en apprenant à nous défendre …"

    Dommage car sur le constat et sur le fond Agnès Maillard ne dit pas autre chose que les 3 associations à l’origine de la campagne contre le viol quand elle écrit : "Les coups, le viol, les salaires honteux, le harcèlement au boulot, dans la rue, à la maison, tout cela participe de la même chose, d’une logique de domination complaisamment mise en scène chaque jour, partout, tout le temps"

    Pour ma part j’ai évidemment signé la pétition contre le viol http://www.contreleviol.fr

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  37. "moi ce qui me fait mal au cœur, c’est quand certaines femmes sont enfin arrivées à des postes à responsabilité, souvent en copiant les comportements masculins, se mettent à dévaloriser les autres femmes qui pourraient leur faire de l’ombre."

    Ce que j’observe (en tant que mec, et confirmé par ma chère et tendre), c’est que les femmes entre elles tendent à être bien plus dures que les mecs entre eux, quelque soit le niveau hiérarchique. C’est d’une tristesse assez incroyable.

    Ceci dit, c’est un problème second. Celui de l’agression sexuelle, de la domination masculine, est sans aucun doute plus grave. Pour commencer à le résoudre, je propose des cours de Krav Maga obligatoire pour tout le monde à partir de la petite école. Sans déconner, si un jour j’ai une gamine, j’insisterais pour qu’elle apprenne à se défendre. La meilleure façon de ne pas être une victime, c’est encore d’avoir conscience de sa potentialité d’agression. En plus, ça rends plus calme, ça déstresse et ça crée des liens.

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  38. "Mais qui voudrait vivre chaque jour de son existence dans la peur?"

    Enormément de salariés vivent chaque jour dans la peur : d’où l’intérêt des gouvernements de plutôt focaliser sur les violences domestiques extra-professionnelles, tout à fait réelles elles aussi. Du bon boulot de professionnel de la communication : faire pousser un arbre pour cacher la forêt.

    Réponse
  39. "Mais qui voudrait vivre chaque jour de son existence dans la peur?"

    Enormément de salariés vivent chaque jour dans la peur : d’où l’intérêt des gouvernements de plutôt focaliser sur les violences domestiques extra-professionnelles, tout à fait réelles elles aussi. Du bon boulot de professionnel de la communication : faire pousser un arbre pour cacher la forêt.

    Réponse
  40. Personnellement, je m’en suis tirée par un kick retroussé du nez… je n’ai donc pas d’affinités électives avec la quincaillerie et je reste dans l’idée qu’en cas d’urgence, la seule idée qu’on doit avoir en tête, c’est faire très mal, très vite et par tous les moyens.

    Le principe est simple : ne pas se penser uniquement comme des victimes, passées ou à venir, et faire en sorte que ce refus de la victimisation contamine bien l’espace publique afin qu’on soit libre d’y circuler comme nous le souhaitons sans lutter contre la peur.

    Réponse
  41. Personnellement, je m’en suis tirée par un kick retroussé du nez… je n’ai donc pas d’affinités électives avec la quincaillerie et je reste dans l’idée qu’en cas d’urgence, la seule idée qu’on doit avoir en tête, c’est faire très mal, très vite et par tous les moyens.

    Le principe est simple : ne pas se penser uniquement comme des victimes, passées ou à venir, et faire en sorte que ce refus de la victimisation contamine bien l’espace publique afin qu’on soit libre d’y circuler comme nous le souhaitons sans lutter contre la peur.

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  42. Vraiment, une jupe un 25 novembre …..

    Je suis allée voir "Potiche" hier soir. Un joli conte. Cela fait du bien.

    Réponse
  43. Désolé mesdames, le coup dans les couilles n’a rien de radical, et c’est petit c’est engins-là.
    Face à l’agression, le cou, les yeux, le plexus, le nez, cibles bien plus aisée à distinguer, non ?
    Je crois que quelques cours d’aikido, sport où l’on utilise la force déployée par l’agresseur sont pas mal non plus.
    😀
    Voilà pour ce qu’il est d’une propagande fausse agressive sur les parties sexuelles, objet de désir et de crainte phobique bien moins atteignable (les gros en particulier) et bien moins sensible aux coups que les parties indiquées précédemment.
    Tapez en dépassant la surface de la cible.
    En fait, cette propagande sur les organes génitaux sensibles ne vise qu’à colporter davantage de rancœurs et de phobies sexuelles.

    La ventilation des vrais problèmes sociaux généraux et particuliers sur le sexe tenus par Passant là :
    https://blog.monolecte.fr/2010/
    Je suis tout à fait d’accord.

    Diviser pour régner voilà peut-être la source des sexismes ? De tous les sexismes ! 🙂

    Amitié, Jojo

    Réponse
  44. Désolé mesdames, le coup dans les couilles n’a rien de radical, et c’est petit c’est engins-là.
    Face à l’agression, le cou, les yeux, le plexus, le nez, cibles bien plus aisée à distinguer, non ?
    Je crois que quelques cours d’aikido, sport où l’on utilise la force déployée par l’agresseur sont pas mal non plus.
    😀
    Voilà pour ce qu’il est d’une propagande fausse agressive sur les parties sexuelles, objet de désir et de crainte phobique bien moins atteignable (les gros en particulier) et bien moins sensible aux coups que les parties indiquées précédemment.
    Tapez en dépassant la surface de la cible.
    En fait, cette propagande sur les organes génitaux sensibles ne vise qu’à colporter davantage de rancœurs et de phobies sexuelles.

    La ventilation des vrais problèmes sociaux généraux et particuliers sur le sexe tenus par Passant là :
    https://blog.monolecte.fr/2010/
    Je suis tout à fait d’accord.

    Diviser pour régner voilà peut-être la source des sexismes ? De tous les sexismes ! 🙂

    Amitié, Jojo

    Réponse
  45. Elle fait comment la victime institutionnelle pour se défendre quand elle a une lame de rasoir sur le cou ?
    C’est quoi le programme ? Cours de self défense obligatoire pour les filles dès la maternelle ? Et pour riposter les violeurs vont s’armer encore plus ? Les trois assoc qui ont monté la campagne avec peu de moyen se sont donné beaucoup de mal. Leur idée de commencer par changer les mentalités, les paroles, les discours sur le viol ne me parait pas absurde, même si on peut en critiquer la mise en oeuvre. Mais les paroles précédant les actes il me semble opportun de changer le discours dominant sur le viol.
    D’ailleurs, dans l’histoire que tu racontes, c’est bien une sorte de consensus familial qui a mis la fillette en situation de devoir se défendre face à un violeur…

    Réponse
  46. J’ai été agressée une fois. Je n’ai même pas pensé aux couilles… Je n’ai en réalité pas trop pensé à faire mal à ce sale type (on n’est pas "dressées" à ça, nous les femmes). Je me pensais effectivement en victime. Mais, je l’ai cependant mordu très fort à la main qui tentait de me bâillonner (il l’a senti pendant des jours; il s’en est même plaint au cours du procès !).

    Quant à l’aïkido, j’ai essayé… après. Et j’ai vite compris que ce n’est pas à ma portée. Je crois que la chose la plus importante que l’on doit intégrer, c’est qu’il faut faire mal. Point.

    Réponse
  47. Même si bien entendu, la violence est condamnable d’où qu’elle vienne ; même si l’autodéfense prônée en lieu et place d’une véritable justice au nom du peuple ou de la société conduise immanquablement au règne du plus fort, roi de la jungle génétiquement modifiée ; même si ce n’est pas raisonnable de donner des coups de pieds aux couilles des violeurs et autres prédateurs quand on porte une jupe le jour des catherinettes, euh, j’avoue qu’un certain principe de réalité te donnerait tout de même une chance de survivre de cette manière.
    Bravo encore Agnès, segi hola !

    Réponse
  48. Même si bien entendu, la violence est condamnable d’où qu’elle vienne ; même si l’autodéfense prônée en lieu et place d’une véritable justice au nom du peuple ou de la société conduise immanquablement au règne du plus fort, roi de la jungle génétiquement modifiée ; même si ce n’est pas raisonnable de donner des coups de pieds aux couilles des violeurs et autres prédateurs quand on porte une jupe le jour des catherinettes, euh, j’avoue qu’un certain principe de réalité te donnerait tout de même une chance de survivre de cette manière.
    Bravo encore Agnès, segi hola !

    Réponse
  49. ça m’est arrivé 3 fois dans ma vie, d’avoir été agressée sexuellement et d’avoir échappé de justesse au viol.

    Une première fois au Mexique. Là j’ai carrément risqué la tournante, et je m’en suis tirée parce qu’ils sont superstitieux, les campesinos. J’avais 27 ans.

    Réactions des "camarades gauchistes": "oui mais tu comprends les blancs leur ont fait des misères". En somme c’est normal quoi. Du moment que les violeurs sont des "pauv’zindigènes" c’est bon. Pour la droite, le viol n’est répréhensible que chez les indigènes, chez les blancs il est minimisé et on lui trouve des circonstances atténuantes. ça fait une bonne mesure.

    La seconde fois j’avais 31 ans. C’était en remontant de la plage au parking, dans la pinède. Par surprise au détour d’un buisson. Mes deux poings dans l’estomac et je suis partie en courant.

    C’est vrai quoi, faudrait peut-être n’aller jamais nulle part toute seule (selon de bonnes âmes masculines compatissantes "de gauche", je précise).

    La troisième fois c’était il n’y a pas si longtemps et j’avais largement dépassé la cinquantaine.

    Je ne compte pas les mains au panier dans le métro ou ailleurs, et les griffures, les coups de sacs à main envoyés dans la figure, que je sois en minijupe ou en jean.

    Il n’y a pas d’âge. Des filles non pubères comme des vieilles femmes de plus de 70 ans ont été sexuellement agressées ou violées, PARCE QUE DE SEXE FEMININ.

    J’ai raconté ces épisodes ici:

    http://lorycalque.joueb.com/news/te
    http://lorycalque.joueb.com/news/ag
    http://floreal.wordpress.com/2009/1

    Oui bien sûr. Ce que tu dis es vrai, de la précarité et d’une future retraite de merde, j’en sais quelque chose.

    Mais le web est sexiste, ultra sexiste et pas seulement à droite. La gauche, dont on serait en droit d’attendre un mieux ne l’est pas moins. Elle l’est différemment et plus insidieusement. Y compris l’extrème-gauche, y compris les "anars".

    J’ai décerné le "grand prix du couillosaure de l’année" à un de tes "potes", "anarmachiste", comme je les appelle, Agnès. Pour ce mec là comme pour tant d’autres, violer une femme serait en qq sorte lui faire honneur, c’est qu’elle est encore "bonne", c’est ce qu’il ressort de cette mentalité de connard.

    Comme quoi c’est pas gagné.

    Réponse
  50. C’est vrai qu’il vient s’ajouter à la maladie mentale pure et simple qu’est le viol une certaine culture où la fornication est masculine et la perpétuation de l’espèce uniquement féminine.
    Sinon, t’es une salope.
    Ne croyez pas mesdames que le sexe masculin est épargné des pédophiles, des pédérastes, voire même de la part d’homoxuels divers.
    C’est la vie, c’est le sexe, et ils sont ainsi sociétalement pour tous !

    En vous particularisant, je crains que vous ne déguisiez la réalité de la persistance du viol alors qu’il est fondamentalement commun à tous, sans distinction de sexe, d’âge et de condition.

    Là aussi, la prise et charge et les solutions c’est TOUS ENSEMBLE, TOUS !

    Solidarité !

    Amitié, Joel

    Réponse
  51. NON. Pas "tous ensemble". Et "toutes"? Elles sont où "toutes"? Délayées, dissoutes. Disparues dans le "tous" où elles n’ont plus qu’à suivre sans discuter, obéir et la fermer.

    Niet. Que dalle. Ou je te le traduis en 4 langues et j’appelle une copine pour te le traduire en 4 autres pour que t’aies au moins une probabilité sur 8 de le comprendre en une, smolski & Co.?

    C’est pas comme ça que ça marche.

    Ton sexe masculin, machin, il représente 20% des discriminés. Clair?

    Durant les persécutions du moyen-âge et de la renaissance, les hommes représentent pas plus de 20 % des victimes. Et ça n’a pas changé depuis. Agnès Maillard, parle de la précarité et divers:
    "Les femmes ne cessent d’occuper une place infériorisée sur le marché du travail notamment du fait d’une minoration voire d’une négation des compétences dont elles disposent ou qui sont nécessaires pour occuper ces emplois. Qu’il s’agisse des secteurs les plus techniques où elles sont très minoritaires ou des secteurs dits des services aux personnes où elles sont au contraire largement majoritaires, on retrouve à l’œuvre cette même logique discriminante. Ces conditions de travail et d’emploi des femmes ont, par ailleurs, des conséquences spécifiques sur leur santé, physique et psychique."

    Violences sociales :

    – Salaire en moyenne inférieur à 27% à celui d’un homme,

    – Retraite inférieure de près de 600 euros,

    – 85% des emplois précaires, à temps partiels imposés sont tenus par des femmes

    – 80% des travailleurs pauvres sont des femmes,

    – 2 « bénéficiaires » sur 3 du minimum vieillesse (708 euros) sont des femmes,…

    DES FEMMES. Pas des hommes. Pas des immigrés. DES FEMMES. Et dans ces 80% de personnes, la grande majorité ne sont pas des immigrées, pas des pauv’voilées-dont-le-voile-est-le-libre-choix mais DES FEMMES, du début à la fin de leur vie.
    Et le viol plus que tout le reste ne regarde exclusivement que des personnes de tous âges et de sexe féminin à plus de 80 %.

    Ras-le bol de voir des couillosaures diluer ces problématiques dans l’indéfini pour occulter le fait que cela concerne plus qu’ultra majoritairement DES FEMMES.

    Réponse
  52. Houlà Floreal !

    Je serai le seul avec mon sexe "machin", je resterai solidaire avec toutes les personnes discriminées, sans partage entre toutes les variantes de discriminations possibles et appliquées.
    Pourquoi diviser les douleurs ?
    L’avantage au nombre ?
    Mais le sort subi par un viol ne l’est-il pas à l’identique pour chaque victime ?

    On peut éplucher chaque catégorie de personne, le nombre de celles qui sont persécutées sera toujours plus élevé que celui de leurs bourreaux !
    C’est ça la vrai comptabilité des crimes et des victimes.
    Et c’est pourquoi :
    TOUS ENSEMBLE, TOUS ! Plus que jamais. 😀

    Amitié et solidarité, Joel

    Réponse
  53. C’est exactement ce que j’ai enseigné à mes deux filles de 10 et 8 ans. Un gros coup de pied, de poing ou de dents dans les testicules.

    Il faut leur apprendre dès leur plus jeune âge l’endroit délicat ….. ;-pp

    Réponse
  54. C’est exactement ce que j’ai enseigné à mes deux filles de 10 et 8 ans. Un gros coup de pied, de poing ou de dents dans les testicules.

    Il faut leur apprendre dès leur plus jeune âge l’endroit délicat ….. ;-pp

    Réponse
  55. T’a raison meuf, rien ne vaut le coup de pied dans les couilles, pour ne pas se laisser enfermer dans le role de la faible à proteger pour lui donner avec condescendance le droit à l’égalité, mais la prendre de soi!

    Par contre faut pas trop en faire non plus, siffler une fille dans la rue c’est la vie tu sais. Tu vas pas non plus militer contre la drague.

    Réponse
  56. Mais ça fait vachement mal un coup de pied dans les couilles, Agnès ! Tu me fais peur, là… Non… Non pas taper, non…
    Evidemment d’accord, sérieusement.
    Mesdames : nous autres mâles ne comptons que sur votre faiblesse et votre soumission pour faire passer l’arnaque de notre supériorité.
    Et nous savons que les couilles, chez l’hommes, ne sont pas que physiquement douloureuses : toute la symbolique de la virilité à bon compte y est intimement liée.
    Tapez, sans hésitation.
    Mais pas sur moi, sauvages ! AÏE EUH !
    😉

    Réponse
  57. Mais ça fait vachement mal un coup de pied dans les couilles, Agnès ! Tu me fais peur, là… Non… Non pas taper, non…
    Evidemment d’accord, sérieusement.
    Mesdames : nous autres mâles ne comptons que sur votre faiblesse et votre soumission pour faire passer l’arnaque de notre supériorité.
    Et nous savons que les couilles, chez l’hommes, ne sont pas que physiquement douloureuses : toute la symbolique de la virilité à bon compte y est intimement liée.
    Tapez, sans hésitation.
    Mais pas sur moi, sauvages ! AÏE EUH !
    😉

    Réponse
  58. Ado en jouant au foot, je me suis pris un ballon dans les bollocks, c’est probablement l’une des plus fortes douleurs que j’ai eues.

    La nature a rendu les hommes très vulnérables en mettant leurs organes à portée de chocs.

    Réponse
  59. @ john 35

    Attention à ne pas confondre : sans majuscule = « chiottes ».

    Réponse
  60. @ john 35

    Attention à ne pas confondre : sans majuscule = « chiottes ».

    Réponse
  61. Rapport à l’affiche, j’y vois plutôt la revendication à pouvoir être femme et sexy sans que cela constitue un appel à l’intrusion non consentie!

    Réponse
  62. Je vais me faire des ami(e)s sur ce coup la… Je suis impressionné par le ton de ces commentaires. On se croirait subitement passé sur un site de réacs finis genre le Fig…
    A vous lire, le monde serait peuplé d’hommes qui attendent au détour d’un bois que passe une dame pour la violer. Mais enfin, c’est quoi ce délire.
    Comment vous dire ça ?
    Je crois que c’est un peu plus compliqué. Beaucoup de femmes passent leur temps à lire des magazines qui leur explique comment plaire aux hommes. Et les s’exécutent. A quoi sert le rouge à lêvre d’après-vous ? A souligner le potentiel sexuel des femmes. Mais cette attitude de séductrice est tellement intégrée qu’elle ne peut même plus être entendue par les femmes elle-même. Même les gamines s’y mettent !

    C’est à partir de la que je vais prendre inévitablement une volée de bois vert.

    il faudrait d’abord que chacun se pose bien la question de sa position par rapport à l’autre. Nous sommes tous connectés. Si vous avez besoin de votre agresseur, il viendra. Et reviendra. Même plusieurs fois. Ce n’est pas valide que pour le viol d’ailleurs, et c’est pour cela que certains semblent collectionner les emmerdes. J’ai des amis qui bizarrement passent d’accidents en accidents. Tant qu’ils ne comprendront pas ce qui vient d’eux-même, ça recommencera… et effectivement, ça recommence.

    Le problème c’est que les raisons de l’apparition de ce type de confrontation est profondément enfoui dans notre inconscient. Mais ce n’est pas une raison pour nier que nous sommes bien souvent le moteur (inconscient je le rappelle) de nos vies.

    Je connais de superbes femmes qui n’ont jamais eu l’ombre d’une emmerde. D’autres qui les collectionnent. Pareil pour les hommes. Plus je les connais et plus je comprends.

    Les choses sont plus faciles à comprendre si on intègre l’existence de notre inconscient mais plus compliquées car elles sont souvent en contradiction avec nos propos conscients.

    Réponse
  63. Je vais me faire des ami(e)s sur ce coup la… Je suis impressionné par le ton de ces commentaires. On se croirait subitement passé sur un site de réacs finis genre le Fig…
    A vous lire, le monde serait peuplé d’hommes qui attendent au détour d’un bois que passe une dame pour la violer. Mais enfin, c’est quoi ce délire.
    Comment vous dire ça ?
    Je crois que c’est un peu plus compliqué. Beaucoup de femmes passent leur temps à lire des magazines qui leur explique comment plaire aux hommes. Et les s’exécutent. A quoi sert le rouge à lêvre d’après-vous ? A souligner le potentiel sexuel des femmes. Mais cette attitude de séductrice est tellement intégrée qu’elle ne peut même plus être entendue par les femmes elle-même. Même les gamines s’y mettent !

    C’est à partir de la que je vais prendre inévitablement une volée de bois vert.

    il faudrait d’abord que chacun se pose bien la question de sa position par rapport à l’autre. Nous sommes tous connectés. Si vous avez besoin de votre agresseur, il viendra. Et reviendra. Même plusieurs fois. Ce n’est pas valide que pour le viol d’ailleurs, et c’est pour cela que certains semblent collectionner les emmerdes. J’ai des amis qui bizarrement passent d’accidents en accidents. Tant qu’ils ne comprendront pas ce qui vient d’eux-même, ça recommencera… et effectivement, ça recommence.

    Le problème c’est que les raisons de l’apparition de ce type de confrontation est profondément enfoui dans notre inconscient. Mais ce n’est pas une raison pour nier que nous sommes bien souvent le moteur (inconscient je le rappelle) de nos vies.

    Je connais de superbes femmes qui n’ont jamais eu l’ombre d’une emmerde. D’autres qui les collectionnent. Pareil pour les hommes. Plus je les connais et plus je comprends.

    Les choses sont plus faciles à comprendre si on intègre l’existence de notre inconscient mais plus compliquées car elles sont souvent en contradiction avec nos propos conscients.

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  64. Loin de nous les amalgames : la drague, même lourde pratiquée par des empotés, n’est pas le viol. En fait, la ligne de démarcation est plutôt simple à visualiser : c’est quand la femme a dit non. Donc, tu peux draguer à la truelle, mais quand la nana te demande d’arrêter, ça veut dire que si tu continues, tu passes en mode harcèlement.

    Pour le sexe, c’est pareil : on parle de consentement. En général, quand deux adultes (ou plus) ont des relations sexuelles, il y a eu au moins une forme de parade pré-accouplement, verbale ou non. À partir du moment où la partenaire se débat, dit non, marque sa désapprobation, tu passes en mode viol, c’est à dire des relations sexuelles imposées.

    Après, non, il n’y a pas un violeur ou un pédophile planqué derrière chaque arbre. Mais il existe cette potentialité du rapport de force défavorable quand un homme décide de soumettre une femme à sa domination.

    Parce que le viol n’est pas une question sexuelle, mais une question de pouvoir et de domination, le sexe contraint étant utilisé un peu comme le clebs qui pisse au pied du lampadaire : pour marquer le territoire/domination en humiliant la victime. Dans les meutes de chiens/loups, le mâle alpha mime souvent des saillies avec les mâles dominés pour marquer sa suprématie. Ça n’a rien à voir avec les saillies reproductives pratiquées normalement avec la femelle alpha, c’est du "concours de bites" pur!

    Réponse
  65. C’est vrai que dire que le viol est causé (inconsciemment, évidemment, sinon c’est vraiment trop gros) par les femmes agressées, c’est pas du tout un commentaire réac, c’est carrément révolutionnaire.

    Rappel : aucun lien entre les tenues vestimentaires et les viols (et quand bien même, je réclame le droit de me balader aussi provocante que je veux sans qu’on me touche contre mon gré), 80% des viols par des personnes connues (mais inconsciemment mal choisies, sûrement)

    Le pb est pas psy, il est politique.

    Réponse
  66. C’est vrai que dire que le viol est causé (inconsciemment, évidemment, sinon c’est vraiment trop gros) par les femmes agressées, c’est pas du tout un commentaire réac, c’est carrément révolutionnaire.

    Rappel : aucun lien entre les tenues vestimentaires et les viols (et quand bien même, je réclame le droit de me balader aussi provocante que je veux sans qu’on me touche contre mon gré), 80% des viols par des personnes connues (mais inconsciemment mal choisies, sûrement)

    Le pb est pas psy, il est politique.

    Réponse
  67. Je serais plutôt adepte de la riposte graduée.

    Le coup direct là où ça fait le plus mal est exagéré. En revanche, dire non puis, si ça continue mettre un coup de paume dans le nez ou un arm lock me parait plus valable, et puis si ça continue, bon ben le coup de genou dans les parties, mais il l’aura voulu.

    Enfin, n’étant pas une femme, j’ai aussi dû montrer mes capacités de dissuasion, vu que je plais aux homo, mais que c’est pas ma tasse de thé. J’en suis jamais venu aux mains, mais une fois un type était un peu insistant, je lui ai brandi mon casque de moto comme arme de dissuasion qu’il aurait pu se prendre dans la tronche.

    Par conséquent, je comprends bien ce genre de situation où la moutarde peut vite monter au nez, l’adrénaline nous dope pour la défense, la nature est parfois bien faite pour pouvoir se défendre.

    Mais par ailleurs, nous autres les mecs, on se retrouve aussi dans des situations à la con, comme la fois pendant une fête où je plaisais à une jolie femme que lorgnait un légionnaire, il avait voulu me faire la peau cet abruti.

    Réponse
  68. Je serais plutôt adepte de la riposte graduée.

    Le coup direct là où ça fait le plus mal est exagéré. En revanche, dire non puis, si ça continue mettre un coup de paume dans le nez ou un arm lock me parait plus valable, et puis si ça continue, bon ben le coup de genou dans les parties, mais il l’aura voulu.

    Enfin, n’étant pas une femme, j’ai aussi dû montrer mes capacités de dissuasion, vu que je plais aux homo, mais que c’est pas ma tasse de thé. J’en suis jamais venu aux mains, mais une fois un type était un peu insistant, je lui ai brandi mon casque de moto comme arme de dissuasion qu’il aurait pu se prendre dans la tronche.

    Par conséquent, je comprends bien ce genre de situation où la moutarde peut vite monter au nez, l’adrénaline nous dope pour la défense, la nature est parfois bien faite pour pouvoir se défendre.

    Mais par ailleurs, nous autres les mecs, on se retrouve aussi dans des situations à la con, comme la fois pendant une fête où je plaisais à une jolie femme que lorgnait un légionnaire, il avait voulu me faire la peau cet abruti.

    Réponse
  69. Sinon, les considérations psychanalytiques me paraissent inappropriées pour donner une vue d’ensemble de ce genre confrontations où ce sont 2 animaux qui ont à se faire face avec toutes leurs armes.

    Quoi qu’on en dise, il faut apprendre à croiser le fer dans la vie. C’est valable pour les femmes et pour les hommes dans toutes sortes de situations, très souvent professionnelles et sociales.

    La vie est un combat, pas seulement une soumission.

    Réponse
  70. Sinon, les considérations psychanalytiques me paraissent inappropriées pour donner une vue d’ensemble de ce genre confrontations où ce sont 2 animaux qui ont à se faire face avec toutes leurs armes.

    Quoi qu’on en dise, il faut apprendre à croiser le fer dans la vie. C’est valable pour les femmes et pour les hommes dans toutes sortes de situations, très souvent professionnelles et sociales.

    La vie est un combat, pas seulement une soumission.

    Réponse
  71. "Je serais plutôt adepte de la riposte graduée.

    Le coup direct là où ça fait le plus mal est exagéré."

    Le coup de pied dans les couilles est très gradué. Il y a moyen de faire bien pire : les doigts dans les yeux, l’arrachage des oreilles, la morsure des doigts jusqu’au sang ou l’amputation. Et puis, arracher un morceau de chair de son agresseur facilite le travail de la police.

    Réponse
  72. "fête de la dinde aux USA et première journée nationale contre les violences faites aux femmes en France.
    Aucun lien."
    j’espère bien!

    Réponse
  73. En accord avec Fao, je confirme l’efficacité totale du coup de genoux dans les burnes. Totalement invalidant pendant plusieures minutes ça laisse le temps de mettre l’agresseur à bonne distance.
    Par contre je suis un peu surpris par les conseils genre coup de ciseaux en pleine figure (ah Grace Kelly dans "Le crime était presque parfait"!!!): je trouve déja un peu bizarre de se promener avec des ciseaux à la main mais en plus si vous tombez sur un fou furieux c’est une défense qui peut s’avérer suicidaire.
    Quant à pointer la quasi complicité des "gentils fonctionnaires de la Justice" avec les violeurs, là ça fait vraiment forum de Libé.

    Réponse
  74. Drelk

    semble aimer la boucherie, son fantasme à lui qui ne s’est d’ailleurs probablement jamais battu. Une couille molle surement, un frimeur à qui je mettrai une vraie branlée.

    Moi je me suis battu, os cassés et bien d’autres choses, je sais le sang qui pisse et les douleurs de la casse.

    Réponse
  75. Drelk

    semble aimer la boucherie, son fantasme à lui qui ne s’est d’ailleurs probablement jamais battu. Une couille molle surement, un frimeur à qui je mettrai une vraie branlée.

    Moi je me suis battu, os cassés et bien d’autres choses, je sais le sang qui pisse et les douleurs de la casse.

    Réponse
  76. Oui, la violence institutionnelle… je crois que c’est ça le problème. Et c’est valable pour beaucoup d’autres sujets.

    Autant la violence physique est bien visible, est évidente, etc. Mais au moins, c’est (relativement) facile de lutter contre : coup de pied dans les couilles, etc.

    Mais, la violence institutionnelle, c’est une violence qui ne dit pas son nom, elle n’est pas visible si on n’y est pas sensible, elle est diffuse, il n’y a pas un responsable unique, etc. Mais au final, cette violence institutionnelle est bien plus violente que la violence physique, et elle touche bien plus de monde aussi !

    Réponse
  77. Mais c’est quoi, cette fixation sur les burnes? C’est pas parce que A. Maillard les a utilisées comme expression significative et percutante pour un titre qu’il faut les ramener à tout bout de champ sur le tapis.

    ça c’est encore et toujours ramener le symbole phallique au premier plan.

    L’important, pour les femmes dans le cadre de la légitime défense face à une agression sexuelle, ce n’est pas de viser nécessairement les burnes mais de se défendre efficacement.

    On n’est pas toujours en position de les viser efficacement, les burnes, d’ailleurs. Ce qui compte est de viser efficacement un organe sensible. Selon les cas et les postures, les rotules, les yeux, l’estomac vont très bien aussi.

    "graduellement". Comme si on avait le temps de méditer philosophiquement ! Bien sûr que non. Ce qu’il faut surtout et plus que tout est ne pas hésiter à faire mal, très mal, le plus mal possible, et une fois l’adversaire déstabilisé, fuir, prendre ses jambes à son cou, le plus vite possible, sans se soucier de l’air qu’on peut avoir, quitte à laisser sur place son sac ou ses godasses, pour se mettre hors de portée de l’agresseur.

    Parce que lui, l’agresseur, n’aura aucun scrupule à vous en faire, du mal. A vous violer, et même à vous tuer. C’est lui ou vous et vous devez vous choisir.

    Fuir ensuite et vous mettre à l’abri, là où il y a du monde. Vous passerez peut-être pour une pute. Pour celle "qui l’a bien cherché". C’est avilissant mais en attendant vous serez en sécurité. L’agresseur (c’est un pleutre et un moins que rien) n’osera pas se ruer sur vous en présence d’autres personnes. Ensuite vous pourrez porter plainte, dénoncer, avoir des témoignages.

    Et si vous l’avez sec d’être prise pour une pute et de devoir subir des regards de suspicion des "braves gens", vous pourrez toujours faire du sport, apprendre à contrôler votre respiration, à ménager vos forces, à ne pas vous débattre sottement en en perdant, à militer en tant que féministe en revendiquant votre droit à l’espace public.

    Parce que c’est bien ça l’enjeu: le droit à l’espace public. C’est votre légitimité d’y être en tant que femme qui est mise en question par les agresseurs. La violence, la hantise de l’agression sexuelle et du viol, sont les moyens de contrôle des "burnés" du dit espace public qu’ils vous nient pour vous assigner à votre "place de femme" dépendante.

    Réponse
  78. Mais c’est quoi, cette fixation sur les burnes? C’est pas parce que A. Maillard les a utilisées comme expression significative et percutante pour un titre qu’il faut les ramener à tout bout de champ sur le tapis.

    ça c’est encore et toujours ramener le symbole phallique au premier plan.

    L’important, pour les femmes dans le cadre de la légitime défense face à une agression sexuelle, ce n’est pas de viser nécessairement les burnes mais de se défendre efficacement.

    On n’est pas toujours en position de les viser efficacement, les burnes, d’ailleurs. Ce qui compte est de viser efficacement un organe sensible. Selon les cas et les postures, les rotules, les yeux, l’estomac vont très bien aussi.

    "graduellement". Comme si on avait le temps de méditer philosophiquement ! Bien sûr que non. Ce qu’il faut surtout et plus que tout est ne pas hésiter à faire mal, très mal, le plus mal possible, et une fois l’adversaire déstabilisé, fuir, prendre ses jambes à son cou, le plus vite possible, sans se soucier de l’air qu’on peut avoir, quitte à laisser sur place son sac ou ses godasses, pour se mettre hors de portée de l’agresseur.

    Parce que lui, l’agresseur, n’aura aucun scrupule à vous en faire, du mal. A vous violer, et même à vous tuer. C’est lui ou vous et vous devez vous choisir.

    Fuir ensuite et vous mettre à l’abri, là où il y a du monde. Vous passerez peut-être pour une pute. Pour celle "qui l’a bien cherché". C’est avilissant mais en attendant vous serez en sécurité. L’agresseur (c’est un pleutre et un moins que rien) n’osera pas se ruer sur vous en présence d’autres personnes. Ensuite vous pourrez porter plainte, dénoncer, avoir des témoignages.

    Et si vous l’avez sec d’être prise pour une pute et de devoir subir des regards de suspicion des "braves gens", vous pourrez toujours faire du sport, apprendre à contrôler votre respiration, à ménager vos forces, à ne pas vous débattre sottement en en perdant, à militer en tant que féministe en revendiquant votre droit à l’espace public.

    Parce que c’est bien ça l’enjeu: le droit à l’espace public. C’est votre légitimité d’y être en tant que femme qui est mise en question par les agresseurs. La violence, la hantise de l’agression sexuelle et du viol, sont les moyens de contrôle des "burnés" du dit espace public qu’ils vous nient pour vous assigner à votre "place de femme" dépendante.

    Réponse
  79. Elle est drôle la floréale en nous disant qu’il ne faut pas tout ramener aux burnes alors qu’elle ramène tout au vagin, alors qu’on tente de mettre en cause les rapports de domination, peu importe le sexe.

    Mais non, pour elle tout se passe au niveau du vagin, sa grosse fixette.

    Réponse
  80. Elle est drôle la floréale en nous disant qu’il ne faut pas tout ramener aux burnes alors qu’elle ramène tout au vagin, alors qu’on tente de mettre en cause les rapports de domination, peu importe le sexe.

    Mais non, pour elle tout se passe au niveau du vagin, sa grosse fixette.

    Réponse
  81. En fait,si il y a les phallocrates, il y a aussi les vaginocrates, et on est vraiment dans la merde avec les deux.

    Réponse
  82. En fait,si il y a les phallocrates, il y a aussi les vaginocrates, et on est vraiment dans la merde avec les deux.

    Réponse
  83. Fao, on critique les idées, pas les gens.

    Sinon, je suis plutôt d’accord avec le dernier message de Floréal, ce qui est suffisamment rare pour être signalé. La violence subite entraîne généralement une phase de sidération où la victime est incapable de réagir à l’agression, et ça, les prédateurs le savent et l’exploitent. Quand j’écris qu’il faut frapper vite et très fort, je parle du même effet de sidération qui est, en gros, notre meilleure chance de nous en tirer face à quelqu’un de souvent plus fort que nous. Je sais que je suis incapable de tenir un vrai combat. Ma seule chance, en cas d’agression, c’est précisément une réplique massive et immédiate, de préférence totalement disproportionnée par rapport à ce que l’on peut attendre de quelqu’un de mon gabarit.

    Après, oui, tu as des situations où tu es toi-même neutralisée dès le début et où esquisser une défense peut signer ton arrêt de mort. Là, la plupart du temps, la panique prend le dessus et nous empêche de guetter le moment d’inattention, l’ouverture qui permet d’en revenir à la technique de la Blitzkrieg, avec toujours une seule idée : si tu en a l’occasion, ne fais pas de prisonnier!

    Réponse
  84. Ah quand même, ça relance.
    Je me disais aussi… Trois jours de commentaires bien vifs et puis le silence… Youhou… Y a plus personne? C’est dimanche ou quoi? Vous êtes à la messe? Vous avez eu un samedi soir fatigant? Vous expérimentez quelques figures du kamasutra? Vous surveillez la dinde dominicale? Vous êtes parti en balade sans votre portable? Le sujet pourtant très bien écrit par Agnès, avec beaucoup de textes en liens, expérience perso, etc… vous a déjà épuisé(e)s?

    Réponse
  85. Ah quand même, ça relance.
    Je me disais aussi… Trois jours de commentaires bien vifs et puis le silence… Youhou… Y a plus personne? C’est dimanche ou quoi? Vous êtes à la messe? Vous avez eu un samedi soir fatigant? Vous expérimentez quelques figures du kamasutra? Vous surveillez la dinde dominicale? Vous êtes parti en balade sans votre portable? Le sujet pourtant très bien écrit par Agnès, avec beaucoup de textes en liens, expérience perso, etc… vous a déjà épuisé(e)s?

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  86. Bon,le sujet c’est la self défense.

    La vraie difficulté,c’est dans les cas où c’est nécessaire, de vaincre un certain nombre d’inhibitions. Donc de frapper avec l’énergie nécessaire, en se blessant pas.

    Gamin, je me suis pété deux fois la main, pour avoir voulu me défendre, en revanche j’ai fais saigner des nez et luxé des épaules.

    Réponse
  87. Pourquoi l’autodéfense? On ne parle pas de monter des milices à la con. On parle juste de changer profondément le statut de victime de la femme. À partir du moment où se diffuse la représentation sociale que la femme peut se défendre et que l’attaquer t’expose à en prendre plein la gueule, alors, on a déjà fait un grand pas en avant vers l’égalité véritable entre les sexes.

    On parle juste d’une culture commune de la défense. Juste savoir se défendre quand on est attaqué pour sortir de la peur, insidieuse, qui te colle à la colonne vertébrale quand le claquement des tes talons rebondit entre les murs sombres et aveugles d’une ruelle déserte, le soir.

    Réponse
  88. A Maillard écrit :
    "On parle juste de changer profondément le statut de victime de la femme."

    Effectivement, mais comment s’attaquer à ce mauvais statut indéniable sans modifier la racine qui le réalise ?
    Je crains qu’en singularisant le statut féminin, nous ne fassions que déporter et masquer la réalité qui mène à l’établissement d’un statut de privauté sur un statut de soumission avérée.
    Nous pouvons nous attaquer à ce statut sexiste en débat ici, puis à celui fait aux enfants, puis celui de…
    Tous ces combats sont à mener sans en omettre un seul, oui !

    On peut penser que l’aboutissement de toutes ces victimisations enchaînées les unes aux autres, dilue l’action commune d’attaquer frontalement la racine sociale qui défini ces statuts inexorablement.
    Cette racine est : "Le principe de ‘établissement en continue d’une hiérarchisation"
    Et qui applique le principe de la chefferie :
    "Diviser pour mieux régner."
    Cette division me paraît être la source principale de la division sociale de la femme qui fait ici débat.

    Créer la société qui n’engendre pas ce principe de hiérarchisation semble le combat naturel à mener solidairement entre tous ceux qui en partage l’analyse et la conviction, sans éviter celui pour la protection des victimes et leur émancipation qui s’y intègre pleinement.

    Il ne s’agit pas de récupération de lutte, mais d’extension d’une lutte avec toutes les luttes qui l’accomplissent, ensemble, TOUS ENSEMBLE !

    Amitié, anarchie et fraternité, Joel

    Réponse
  89. A Maillard écrit :
    "On parle juste de changer profondément le statut de victime de la femme."

    Effectivement, mais comment s’attaquer à ce mauvais statut indéniable sans modifier la racine qui le réalise ?
    Je crains qu’en singularisant le statut féminin, nous ne fassions que déporter et masquer la réalité qui mène à l’établissement d’un statut de privauté sur un statut de soumission avérée.
    Nous pouvons nous attaquer à ce statut sexiste en débat ici, puis à celui fait aux enfants, puis celui de…
    Tous ces combats sont à mener sans en omettre un seul, oui !

    On peut penser que l’aboutissement de toutes ces victimisations enchaînées les unes aux autres, dilue l’action commune d’attaquer frontalement la racine sociale qui défini ces statuts inexorablement.
    Cette racine est : "Le principe de ‘établissement en continue d’une hiérarchisation"
    Et qui applique le principe de la chefferie :
    "Diviser pour mieux régner."
    Cette division me paraît être la source principale de la division sociale de la femme qui fait ici débat.

    Créer la société qui n’engendre pas ce principe de hiérarchisation semble le combat naturel à mener solidairement entre tous ceux qui en partage l’analyse et la conviction, sans éviter celui pour la protection des victimes et leur émancipation qui s’y intègre pleinement.

    Il ne s’agit pas de récupération de lutte, mais d’extension d’une lutte avec toutes les luttes qui l’accomplissent, ensemble, TOUS ENSEMBLE !

    Amitié, anarchie et fraternité, Joel

    Réponse
  90. Est-ce que c’est vraiment si problématique que ça la violence physique ? Parce qu’on donne un coup de pied (dans les couilles, ou ailleurs), on utilise ce qui passe à portée de main, etc. Il n’y a pas vraiment de problème : tout le monde peut comprendre qu’on cherche à se défendre, quand c’est une agression physique.

    Il me semble que c’est plutôt la violence institutionnelle le problème. C’est elle qui fait hésiter à se défendre face à la violence physique, de peur des conséquences à venir. Dans le cas de la violence physique, il me semble que la personne qui en use est souvent quelqu’un qui a déjà un pouvoir, une forme d’autorité, etc. sur la victime le reste du temps. S’il n’y avait pas cette violence institutionnelle, on serait libre de se défendre sans peur.

    Il me semble que le problème c’est bien la violence institutionnelle.

    Réponse
  91. Est-ce que c’est vraiment si problématique que ça la violence physique ? Parce qu’on donne un coup de pied (dans les couilles, ou ailleurs), on utilise ce qui passe à portée de main, etc. Il n’y a pas vraiment de problème : tout le monde peut comprendre qu’on cherche à se défendre, quand c’est une agression physique.

    Il me semble que c’est plutôt la violence institutionnelle le problème. C’est elle qui fait hésiter à se défendre face à la violence physique, de peur des conséquences à venir. Dans le cas de la violence physique, il me semble que la personne qui en use est souvent quelqu’un qui a déjà un pouvoir, une forme d’autorité, etc. sur la victime le reste du temps. S’il n’y avait pas cette violence institutionnelle, on serait libre de se défendre sans peur.

    Il me semble que le problème c’est bien la violence institutionnelle.

    Réponse
  92. Je n’ai pas parlé de milice mais de self défense. Que les femmes puissent être des victimes, n’empêche pas que tout un chacun puisse l’être à un moment ou un autre et que le problème reste là.

    Réponse
  93. en Espagne, le jour de cette journée sur les violences faites aux femmes, le mot d’ordre était la lutte contre les comportements machistes… Résultat : plusieurs centaines de personnes à Barcelone. pas mal, non ?

    Réponse
  94. en Espagne, le jour de cette journée sur les violences faites aux femmes, le mot d’ordre était la lutte contre les comportements machistes… Résultat : plusieurs centaines de personnes à Barcelone. pas mal, non ?

    Réponse
  95. Ouais, et largement plus du million pour l’autonomie de la Catalogne, de quelques centaines à quelques centaines de milliers, tu te fous de qui camarade GdeC? En plus dans cette période particulière dans la Generalitat, en mesclant Espanha e Catalunha tu ne vas pas te faire que des copines, au fait t’as vu la video des jeunes du PS catalan, Votar es un plaer? Espia men, mira.

    Réponse
  96. Ouais, et largement plus du million pour l’autonomie de la Catalogne, de quelques centaines à quelques centaines de milliers, tu te fous de qui camarade GdeC? En plus dans cette période particulière dans la Generalitat, en mesclant Espanha e Catalunha tu ne vas pas te faire que des copines, au fait t’as vu la video des jeunes du PS catalan, Votar es un plaer? Espia men, mira.

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  97. puuuutain…

    y’a le commentaire du Lolo 40 là…

    ça le laisse sidéré… à presque avoir envie qu’il se fasse violer…

    bon…

    à part ça… j’suis passé voir le facebook d’une copine… j’y vais pas souvent sur facebook… donc je note des évolutions… très curieuses

    genre

    y’a de plus en plus de pub pour des sites de rencontres… et les nanas qu’ils mettent en vitrine ont des seins de plus en plus gros…

    genre appel à la violence institutionnalisée…

    bientôt, ils vont mettre des filles genre lolo ferrari… tiens ça a peut-être un rapport avec le Lolo du commentaire 40…

    Réponse
  98. puuuutain…

    y’a le commentaire du Lolo 40 là…

    ça le laisse sidéré… à presque avoir envie qu’il se fasse violer…

    bon…

    à part ça… j’suis passé voir le facebook d’une copine… j’y vais pas souvent sur facebook… donc je note des évolutions… très curieuses

    genre

    y’a de plus en plus de pub pour des sites de rencontres… et les nanas qu’ils mettent en vitrine ont des seins de plus en plus gros…

    genre appel à la violence institutionnalisée…

    bientôt, ils vont mettre des filles genre lolo ferrari… tiens ça a peut-être un rapport avec le Lolo du commentaire 40…

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  99. Une question me taraude : pourquoi ce sont les femmes qui se font majoritairement violer ? Depuis le temps que le viol existe. Et si c’était dans les gènes ? Peut-être que le mâle n’a pas trouvé d’autre solution pour assouvir son appétit insatiable par rapport à la parcimonie avec la laquelle la femelle accorde ses faveurs.

    Non, je ne suis pas un violeur, pourtant je déshabille les filles du regard. Elles sont d’ailleurs plus belles nues dans mon esprit que dans la réalité. Elles y ont une perfection et un grain de peau incroyable. Ce n’est pas un sexe qu’elles ont, c’est un distributeur de je ne sais pas quel bienfait inconnu. C’est peut-être pour ça que les violeurs passent à l’acte. Ils pensent sans doute que les rêves se réalisent.

    Les filles, elles-mêmes, essayent de se rendre plus attirante. Plus séduisante, oui, mais pas pour n’importe qui. Uniquement pour le prince charmant, pas pour le vulgum pecus. Étonnez-vous après ça que le bon peuple se révolte, lui qui aimerait tant se faire violer.

    Ça m’est presque arrivé un jour. Je me rendais chez une cliente pour prendre les mesures pour sa cuisine. J’ai été accueillis par celle-ci en déshabillé. Et je te montre ma chambre avec un « tous mes meubles viennent de chez vous ». J’étais choqué. Pourtant elle était belle et avait un superbe accent slave. Des deux, j’étais le plus habillé, et je me sentais pourtant le plus déshabillé. Je suis resté professionnel et je lui ai vendu sa cuisine (tant qu’à faire).

    Ce jour-là, j’ai réalisé ce que c’était que d’être une femme désirée et réticente. Bon, par la suite, j’ai regretté ma timidité. Mais je sais bien que le fantasme n’a rien à voir avec la réalité.

    Effectivement, il n’y a pas d’autre stratégie anti-viol que le massage "énergique" des testicules.

    Réponse
  100. @2 – Otta a dit : « Il me semble que le Che disait: "Soyons réalistes, exigeons l’impossible" ».

    Ce aussi ce que se dit le violeur. Décidément, il y a des points de vue incompatible.

    @4 – Daphné Dupotron a dit : « Alors, pas si con finalement, cette énième journée de quelque chose, ou de quelque cause… ;o) ».

    Et d’effets désirables ou indésirables.

    @5 – cultive ton jardin a dit : « une paire de ciseaux: si on t’emmerde, tu frappe au visage, le mec insiste pas ».

    Le pauvre touriste. Il voulait juste savoir où ce trouve la tour Eiffel. Et on ose stigmatiser la violence des banlieues. Étonnez, après ça, si la France a mauvaise réputation.

    @9 – Lilith a dit : « ce sont des hommes à plus de 90 % qui frappent leur compagne ».

    Sauf dans les couples lesbiens. La violence des femmes, un sujet tabou. Ceci dit si les hommes à 90% sont violents, il faut aussi se demander pourquoi il ne sont homme qu’à 90%. Agnes Maillard était déjà passé par là 🙂

    @13 – Yelrah a dit : « Si vis pacem para bellum ».

    Ne vaudrait-il pas mieux éduquer convenablement les garçons que de préparer la guerre? Quand on désigne l’ennemi, on devient ennemi. Après on rentre dans le rapport de force brutal, et il n’est pas sûr qu’il soit en faveur de la femme.

    Réponse
  101. @2 – Otta a dit : « Il me semble que le Che disait: "Soyons réalistes, exigeons l’impossible" ».

    Ce aussi ce que se dit le violeur. Décidément, il y a des points de vue incompatible.

    @4 – Daphné Dupotron a dit : « Alors, pas si con finalement, cette énième journée de quelque chose, ou de quelque cause… ;o) ».

    Et d’effets désirables ou indésirables.

    @5 – cultive ton jardin a dit : « une paire de ciseaux: si on t’emmerde, tu frappe au visage, le mec insiste pas ».

    Le pauvre touriste. Il voulait juste savoir où ce trouve la tour Eiffel. Et on ose stigmatiser la violence des banlieues. Étonnez, après ça, si la France a mauvaise réputation.

    @9 – Lilith a dit : « ce sont des hommes à plus de 90 % qui frappent leur compagne ».

    Sauf dans les couples lesbiens. La violence des femmes, un sujet tabou. Ceci dit si les hommes à 90% sont violents, il faut aussi se demander pourquoi il ne sont homme qu’à 90%. Agnes Maillard était déjà passé par là 🙂

    @13 – Yelrah a dit : « Si vis pacem para bellum ».

    Ne vaudrait-il pas mieux éduquer convenablement les garçons que de préparer la guerre? Quand on désigne l’ennemi, on devient ennemi. Après on rentre dans le rapport de force brutal, et il n’est pas sûr qu’il soit en faveur de la femme.

    Réponse
  102. @smolski : "Pas chez les enfants où les proies mâles sont les plus nombreuses (je n’est plus la référence)" C’est le problème, tu ne cesses d’affirmer des truc sortis de ta tête et sans aucune réalité. De nier la réalité d’une oppression spécifique des femmes. Par exemple en prétendant que le viol est une maladie mentale, alors que c’est une violence et une volonté de domination et d’humiliation, un problème social.

    Tes répétitions de "tous ensemble" et tes protestations d’amitié en forme de bisounoursitude ne cachent pas que tu tiens un discours masculiniste. Et gonflant, extrêmement.

    Réponse
  103. @smolski : "Pas chez les enfants où les proies mâles sont les plus nombreuses (je n’est plus la référence)" C’est le problème, tu ne cesses d’affirmer des truc sortis de ta tête et sans aucune réalité. De nier la réalité d’une oppression spécifique des femmes. Par exemple en prétendant que le viol est une maladie mentale, alors que c’est une violence et une volonté de domination et d’humiliation, un problème social.

    Tes répétitions de "tous ensemble" et tes protestations d’amitié en forme de bisounoursitude ne cachent pas que tu tiens un discours masculiniste. Et gonflant, extrêmement.

    Réponse
  104. "pourquoi ce sont les femmes qui se font majoritairement violer ?"
    Pas chez les enfants où les proies mâles sont les plus nombreuses (je n’est plus la référence) et certainement aussi, pour les plus grands, parce que c’est encore moins avoué par les victimes.
    Je pense que les violeurs sont des malades qui ne font pas tant de chichi, petit ou grand, mâle ou femelle, voire des animaux, pour commettre leur crime de déséquilibré.
    On le voit bien dans les prisons où le déséquilibre sexuel y est exacerbé.

    Amitié, Joel

    Réponse
  105. "pourquoi ce sont les femmes qui se font majoritairement violer ?"
    Pas chez les enfants où les proies mâles sont les plus nombreuses (je n’est plus la référence) et certainement aussi, pour les plus grands, parce que c’est encore moins avoué par les victimes.
    Je pense que les violeurs sont des malades qui ne font pas tant de chichi, petit ou grand, mâle ou femelle, voire des animaux, pour commettre leur crime de déséquilibré.
    On le voit bien dans les prisons où le déséquilibre sexuel y est exacerbé.

    Amitié, Joel

    Réponse
  106. Bonsoir Christine,

    Effectivement, je ne sors que des trucs de ma tête, quant à leur réalité, peut-être que ce qui ne veut pas s’entendre paraît tout simplement faux. Non ?

    "De nier la réalité d’une oppression spécifique des femmes."
    Cela n’a jamais été mon sentiment.
    La violence faite aux femmes spécifiquement est une réalité avérée.
    Celle faite contre les enfants aussi.
    Celles faites contre les minorités aussi…
    Je ne vois pas pourquoi il faut les nier pour prétendre à la vérité d’une spécifiquement ?
    Prétendre à une loi du nombre n’en fait pas la seule réalité absolue.

    "tu tiens un discours masculiniste."
    Oui, j’en conviens, je suis un homme et je tiens le discours de ma nature.
    Est-il faux ?
    Ne peut-il y avoir plusieurs points de vue sur une même question (ici de la violence subie) ainsi que plusieurs propositions de lutte commune qui en découlent ?

    Je propose de rassembler les luttes contre ce qui est la cause de ces violences.
    Nous pouvons en débattre sans rien amoindrir dans l’entreprise de chacune d’elles, non ?

    De plus Christine, et par-dessus tout, je ne crois pas qu’il n’y est de véritable lutte communautaire sans humour, sans respect ni sans dignité.

    Ainsi :
    On donne l’image de la résistance française sous le despotisme nazi avec des visages graves et convulsés de peur ou de fierté.
    Mais non, ils rigolaient bien entre eux, se faisait des blagues, se bisoutaient, voire plus.
    Idem dans les camps d’extermination, d’où j’ai reçu le témoignage direct de la part de mon père comme quoi ils se faisaient des blagues entre eux chaque fois qu’ils le pouvaient.
    Ah zut, encore un truc de ma tête seule !
    🙂
    "Je peux rire de tout, mais pas avec n’importe qui." P. Desproges (Ce suppôt de la classe machiste et bourgeoise) dieu l’tripote.
    LOL
    Amitié, Bisounounours

    Réponse
  107. Bonsoir Christine,

    Effectivement, je ne sors que des trucs de ma tête, quant à leur réalité, peut-être que ce qui ne veut pas s’entendre paraît tout simplement faux. Non ?

    "De nier la réalité d’une oppression spécifique des femmes."
    Cela n’a jamais été mon sentiment.
    La violence faite aux femmes spécifiquement est une réalité avérée.
    Celle faite contre les enfants aussi.
    Celles faites contre les minorités aussi…
    Je ne vois pas pourquoi il faut les nier pour prétendre à la vérité d’une spécifiquement ?
    Prétendre à une loi du nombre n’en fait pas la seule réalité absolue.

    "tu tiens un discours masculiniste."
    Oui, j’en conviens, je suis un homme et je tiens le discours de ma nature.
    Est-il faux ?
    Ne peut-il y avoir plusieurs points de vue sur une même question (ici de la violence subie) ainsi que plusieurs propositions de lutte commune qui en découlent ?

    Je propose de rassembler les luttes contre ce qui est la cause de ces violences.
    Nous pouvons en débattre sans rien amoindrir dans l’entreprise de chacune d’elles, non ?

    De plus Christine, et par-dessus tout, je ne crois pas qu’il n’y est de véritable lutte communautaire sans humour, sans respect ni sans dignité.

    Ainsi :
    On donne l’image de la résistance française sous le despotisme nazi avec des visages graves et convulsés de peur ou de fierté.
    Mais non, ils rigolaient bien entre eux, se faisait des blagues, se bisoutaient, voire plus.
    Idem dans les camps d’extermination, d’où j’ai reçu le témoignage direct de la part de mon père comme quoi ils se faisaient des blagues entre eux chaque fois qu’ils le pouvaient.
    Ah zut, encore un truc de ma tête seule !
    🙂
    "Je peux rire de tout, mais pas avec n’importe qui." P. Desproges (Ce suppôt de la classe machiste et bourgeoise) dieu l’tripote.
    LOL
    Amitié, Bisounounours

    Réponse
  108. "De nier la réalité d’une oppression spécifique des femmes. Par exemple en prétendant que le viol est une maladie mentale, alors que c’est une violence et une volonté de domination et d’humiliation, un problème social."
    Je ne vois pas pourquoi un délire mental spécifique au viol ne serait pas joint à une réalité sociale qui tend à le perpétrer, à le reproduire et à l’exploiter.

    Je crois (hi hi hi…) qu’une maladie mentale comportementale, n’est pas nécessairement pathologique (atteinte physique dans les neurones).
    Une p’tite référence : Voir les travaux de Bruno Betheleim suite à son séjour dans les camps d’extermination nazi. Notamment, sur ceux qui furent nommés : les Musulman par ce qu’ils développaient un autisme total et morbide les conduisant à la mort.

    Un déclencheur spécifique peut donc mettre en action une maladie mentale, puis, lorsque cette maladie comportementale cesse, elle peut disparaître totalement, jusqu’au prochain déclencheur rencontré.
    C’est la mise en place et l’exploitation de tels déclencheurs, notamment en les valorisant à l’excès et en en produisant des archétypes renouvelés sans cesse (éducation, pub et culture), que la Société hiérarchique divise et régente l’ensemble qui la compose.
    Voili voilou ce que je propose à la sagacité d’ici.
    🙂
    Maintenant, c’est encore de ma tête de mâle avéré tout ça, alors hein !
    😀

    Bisou, Nounours à tous !

    Réponse
  109. Que fait-on des hormones mâles et femelles ? Il y des gens qui savent se dominer, et puis d’autres qui ne savent pas.

    Le viol est un crime, mais il ne suffit pas de le dire pour que le crime arrête d’être perpétré.

    Il y a une nette différence de force physique entre l’homme et la femme, et le viol est un abus de force, quand il n’est pas également un abus de pouvoir (on pourrait imaginer un harcèlement sexuel de la part d’une femme, chef de service, sur un homme).

    Je pense que c’est avant tout une affaire d’éducation. Dans une société qui confond permissivité et liberté, il serait bon de se reposer la question de la sexualité et du couple, sans tabous.

    J’imagine que chacun cherche avant-tout l’âme-sœur, et que c’est dans ce cadre que la recherche d’une sexualité épanouie peut idéalement s’exprimer.

    J’aimerais qu’Agnes, qui exprime si bien les choses, trouve un moyen d’exprimer ce à côté de quoi nous passons sans cesse.

    Je suis d’accord avec son coup de gueule, mais ce n’est qu’un coup de gueule.

    Je crois que c’est un tort d’opposer les femmes et les hommes d’une manière tribale. On nait homme ou femme par accident, et on fait avec.

    Partant de là, il faut bien vivre ensemble. Mais quelle est la meilleure façon d’éviter les maladresses (euphémisme).

    Moi, j’ai une fille. Elle est tout pour moi. Comment éviter qu’il lui arrive ce que je ne lui souhaiterais pas ? La protéger ? Mais ce serait à nouveau l’infantiliser et l’empêcher de vivre pleinement sa vie de femme.

    J’ai souvent lutté contre sa mère pour ne pas "l’attacher au radiateur". Après sa scolarité qu’elle a terminé sans jamais avoir doublé, je lui ai dit de prendre une année sabbatique et de voyager pendant une année à travers l’Europe.

    Sa mère et moi, on avait une pétoche de tous les diables, mais on se disait que c’était le moment ou jamais de profiter de sa jeunesse et de sortir du cocon familial.

    Dans ma jeunesse, il y avait le service militaire qui faisait le même office pour les garçons. Je ne vois pas pourquoi il faudrait priver les filles d’une expérience semblable.

    C’est facile de parler d’oppression féminine, mais cette oppression commence souvent au sein du foyer familial, et la mère y participe souvent activement. Les filles sont plus fragiles que les hommes face à la violence, c’est incontournable.

    Il ne suffit pas de faire des vœux pieux, et de s’indigner vertueusement pour que cette différence de force physique entre les hommes et les femmes n’existe plus.

    Et puis l’homme n’est pas un bourreau à priori, pour que les femmes doivent nécessairement chercher à rentrer en guerre.

    Réponse
  110. Que fait-on des hormones mâles et femelles ? Il y des gens qui savent se dominer, et puis d’autres qui ne savent pas.

    Le viol est un crime, mais il ne suffit pas de le dire pour que le crime arrête d’être perpétré.

    Il y a une nette différence de force physique entre l’homme et la femme, et le viol est un abus de force, quand il n’est pas également un abus de pouvoir (on pourrait imaginer un harcèlement sexuel de la part d’une femme, chef de service, sur un homme).

    Je pense que c’est avant tout une affaire d’éducation. Dans une société qui confond permissivité et liberté, il serait bon de se reposer la question de la sexualité et du couple, sans tabous.

    J’imagine que chacun cherche avant-tout l’âme-sœur, et que c’est dans ce cadre que la recherche d’une sexualité épanouie peut idéalement s’exprimer.

    J’aimerais qu’Agnes, qui exprime si bien les choses, trouve un moyen d’exprimer ce à côté de quoi nous passons sans cesse.

    Je suis d’accord avec son coup de gueule, mais ce n’est qu’un coup de gueule.

    Je crois que c’est un tort d’opposer les femmes et les hommes d’une manière tribale. On nait homme ou femme par accident, et on fait avec.

    Partant de là, il faut bien vivre ensemble. Mais quelle est la meilleure façon d’éviter les maladresses (euphémisme).

    Moi, j’ai une fille. Elle est tout pour moi. Comment éviter qu’il lui arrive ce que je ne lui souhaiterais pas ? La protéger ? Mais ce serait à nouveau l’infantiliser et l’empêcher de vivre pleinement sa vie de femme.

    J’ai souvent lutté contre sa mère pour ne pas "l’attacher au radiateur". Après sa scolarité qu’elle a terminé sans jamais avoir doublé, je lui ai dit de prendre une année sabbatique et de voyager pendant une année à travers l’Europe.

    Sa mère et moi, on avait une pétoche de tous les diables, mais on se disait que c’était le moment ou jamais de profiter de sa jeunesse et de sortir du cocon familial.

    Dans ma jeunesse, il y avait le service militaire qui faisait le même office pour les garçons. Je ne vois pas pourquoi il faudrait priver les filles d’une expérience semblable.

    C’est facile de parler d’oppression féminine, mais cette oppression commence souvent au sein du foyer familial, et la mère y participe souvent activement. Les filles sont plus fragiles que les hommes face à la violence, c’est incontournable.

    Il ne suffit pas de faire des vœux pieux, et de s’indigner vertueusement pour que cette différence de force physique entre les hommes et les femmes n’existe plus.

    Et puis l’homme n’est pas un bourreau à priori, pour que les femmes doivent nécessairement chercher à rentrer en guerre.

    Réponse
  111. @66 – Christine : « Tes répétitions de "tous ensemble" et tes protestations d’amitié en forme de bisounoursitude ne cachent pas que tu tiens un discours masculiniste. Et gonflant, extrêmement ».

    Ce qui est gonflant aussi, c’est le discours féministe "combattant". Pourquoi les hommes cacherait-il forcément un macho dans le slip ?

    C’est pas parce qu’on regarde les femmes et qu’on les trouve plus désirables que le copain de travail, et même que l’on soit grivois entre nous (les femmes ne se racontent jamais des blagues salaces sur les hommes entre elles ?). On ne va tout de même pas devoir fournir un certificat d’homosexualité (sans homophobie) pour éviter que l’on nous traite de masculiniste (connotation péjorative qui ne s’appliquerait pas à féministe).

    Des sujets comme celui-ci sont délicat. Ce n’est pas évident de s’exprimer sans commettre de maladresse. On s’exprime, c’est tout. Il en sort quelque chose ou il n’en sort rien. Moi, j’aimerais bien que l’on vide l’abcès et qu’on en sorte par le haut.

    Chez moi, il n’y a que des femmes (fille, épouse, belle-mère, et belle-sœur). Le sexe fort, c’est les femmes. Je n’ai rien à dire, et je ne m’en plains pas. Mais je peux dire que les femmes sont au moins aussi "torsiveuses" que les hommes, et pas moins responsables de l’éducation des filles et des garçons.

    Ce sont elles qui reproduisent les clichés chez leurs gosses. Les hommes ne peuvent s’immiscer dans l’éducation des enfants que sous commande expresse et dans un cadre précis. Après ça, à la niche et coucouche-canapé. Bon, je caricature un peu, mais c’est à peu près comme ça que "mes" femmes l’entendent.

    Pauvre petit Pierre, on veut l’émasculer 🙂

    Ne répétez pas ma révolte à ma femme, bande de vaches (laitières ? nichons, ouaaaaah) 🙂

    Réponse
  112. @66 – Christine : « Tes répétitions de "tous ensemble" et tes protestations d’amitié en forme de bisounoursitude ne cachent pas que tu tiens un discours masculiniste. Et gonflant, extrêmement ».

    Ce qui est gonflant aussi, c’est le discours féministe "combattant". Pourquoi les hommes cacherait-il forcément un macho dans le slip ?

    C’est pas parce qu’on regarde les femmes et qu’on les trouve plus désirables que le copain de travail, et même que l’on soit grivois entre nous (les femmes ne se racontent jamais des blagues salaces sur les hommes entre elles ?). On ne va tout de même pas devoir fournir un certificat d’homosexualité (sans homophobie) pour éviter que l’on nous traite de masculiniste (connotation péjorative qui ne s’appliquerait pas à féministe).

    Des sujets comme celui-ci sont délicat. Ce n’est pas évident de s’exprimer sans commettre de maladresse. On s’exprime, c’est tout. Il en sort quelque chose ou il n’en sort rien. Moi, j’aimerais bien que l’on vide l’abcès et qu’on en sorte par le haut.

    Chez moi, il n’y a que des femmes (fille, épouse, belle-mère, et belle-sœur). Le sexe fort, c’est les femmes. Je n’ai rien à dire, et je ne m’en plains pas. Mais je peux dire que les femmes sont au moins aussi "torsiveuses" que les hommes, et pas moins responsables de l’éducation des filles et des garçons.

    Ce sont elles qui reproduisent les clichés chez leurs gosses. Les hommes ne peuvent s’immiscer dans l’éducation des enfants que sous commande expresse et dans un cadre précis. Après ça, à la niche et coucouche-canapé. Bon, je caricature un peu, mais c’est à peu près comme ça que "mes" femmes l’entendent.

    Pauvre petit Pierre, on veut l’émasculer 🙂

    Ne répétez pas ma révolte à ma femme, bande de vaches (laitières ? nichons, ouaaaaah) 🙂

    Réponse
  113. @69 – Pierre Meur : « … et l’empêcher de vivre pleinement sa vie de femme ».

    J’aurais du dire "être humain". C’est déjà une façon d’accentuer cette différence que de la rappeler constamment.

    "Liberté, Égalité, Fraternité". C’est pas con comme devise. Il faudrait la répéter jusqu’à la nausée, pour qu’elle rentre bien dans le crâne. Elle y trouverait plus sûrement sa place que toute les conneries que l’on y met.

    Réponse
  114. @69 – Pierre Meur : « … et l’empêcher de vivre pleinement sa vie de femme ».

    J’aurais du dire "être humain". C’est déjà une façon d’accentuer cette différence que de la rappeler constamment.

    "Liberté, Égalité, Fraternité". C’est pas con comme devise. Il faudrait la répéter jusqu’à la nausée, pour qu’elle rentre bien dans le crâne. Elle y trouverait plus sûrement sa place que toute les conneries que l’on y met.

    Réponse
  115. "l’empêcher de vivre pleinement sa vie de femme."
    Oui, il y a une vie de femme et il y a une vie d’homme.
    Toutes deux sont différentes, de ce que je peux en savoir juste avec ma tête de mâle.

    Cela n’implique pas de maintenir un conflit entre les deux sexes, même si historiquement, dans la plupart des sociétés connues, le rang de la femme fut plutôt celui de la soumission devant l’homme.
    Quand je pense que ma mère a dû demander la permission écrite de son mari pour pouvoir travailler !

    Il y a une nécessité de renouveler sans cesse le statut social féminin jusqu’à sa pleine reconnaissance, sa totale valeur en partage.
    Cette nécessité renouvelée permettrait d’obtenir aussi une protection incontestée pour l’intégrité physique des femmes dans la société toute entière. Dont le viol.

    Encore faut-il que cette société ne vise pas à utiliser la dichotomie morphologique et psychologique des deux sexes pour créer, maintenir et exploiter une division de classe entre eux afin d’asseoir les privilèges de quelques-uns.
    Ce qui est le fond du débat ici, je crois, dedans ma tête.

    Il n’est pas nécessaire pour autant que les femmes aient à se conduire de manière identique aux hommes.
    Voire, je pense avec ma tête que cela constituerai un appauvrissement pour tous.

    Bisoux joyeux, Nounours ! 😀

    Réponse
  116. "l’empêcher de vivre pleinement sa vie de femme."
    Oui, il y a une vie de femme et il y a une vie d’homme.
    Toutes deux sont différentes, de ce que je peux en savoir juste avec ma tête de mâle.

    Cela n’implique pas de maintenir un conflit entre les deux sexes, même si historiquement, dans la plupart des sociétés connues, le rang de la femme fut plutôt celui de la soumission devant l’homme.
    Quand je pense que ma mère a dû demander la permission écrite de son mari pour pouvoir travailler !

    Il y a une nécessité de renouveler sans cesse le statut social féminin jusqu’à sa pleine reconnaissance, sa totale valeur en partage.
    Cette nécessité renouvelée permettrait d’obtenir aussi une protection incontestée pour l’intégrité physique des femmes dans la société toute entière. Dont le viol.

    Encore faut-il que cette société ne vise pas à utiliser la dichotomie morphologique et psychologique des deux sexes pour créer, maintenir et exploiter une division de classe entre eux afin d’asseoir les privilèges de quelques-uns.
    Ce qui est le fond du débat ici, je crois, dedans ma tête.

    Il n’est pas nécessaire pour autant que les femmes aient à se conduire de manière identique aux hommes.
    Voire, je pense avec ma tête que cela constituerai un appauvrissement pour tous.

    Bisoux joyeux, Nounours ! 😀

    Réponse
  117. Oui bien sur il faut être aussi con que les hommes et être dans une relation dominant dominé c’est surement ça la solution…

    Encore un site de grands intellectuels

    Réponse
  118. Oui bien sur il faut être aussi con que les hommes et être dans une relation dominant dominé c’est surement ça la solution…

    Encore un site de grands intellectuels

    Réponse
  119. Oui, bien sûr, faut continuer à respecter le couvre-feu, à raser les murs le soir, à ne pas boire, ne pas s’habiller sexy et à croiser les doigts pour que la concupiscence de l’homme ne s’abatte pas sur soi, mais plutôt sur une autre… plus dévergondée.

    Encore un commentaire plein de bon sens près de chez nous…

    le FIT ‎"J’ai été violée deux fois. La première fois j’avais bu alors l’homme n’a pas été condamné. La deuxième fois je n’avais pas bu et cette fois le violeur a été condamné". Mlle A. 20 ans ! Les 2 fois le jugement a été donné en correctionnelle et pas aux assises

    Réponse
  120. "respecter le couvre-feu, à raser les murs le soir, à ne pas boire, ne pas s’habiller sexy et à croiser les doigts pour que la concupiscence de l’homme ne s’abatte pas sur soi, "
    Effectivement !
    Mais le viol n’est pas mis au rencart par :
    "il faut être aussi con que les hommes et être dans une relation dominant dominé"

    Il est juste relevé que d’isoler le crime du viol sur la femme dans un combat entre sexes, c’est conforter à pratiquer obsessionnellement un droit de cuissage pour l’homme ou à le subir pour la femme à fin de domination respective.
    C’est, je pense, poursuivre à forger l’arme du crime en se dérobant devant sa signification native.

    Bisou Nounours, Joel

    Réponse
  121. "respecter le couvre-feu, à raser les murs le soir, à ne pas boire, ne pas s’habiller sexy et à croiser les doigts pour que la concupiscence de l’homme ne s’abatte pas sur soi, "
    Effectivement !
    Mais le viol n’est pas mis au rencart par :
    "il faut être aussi con que les hommes et être dans une relation dominant dominé"

    Il est juste relevé que d’isoler le crime du viol sur la femme dans un combat entre sexes, c’est conforter à pratiquer obsessionnellement un droit de cuissage pour l’homme ou à le subir pour la femme à fin de domination respective.
    C’est, je pense, poursuivre à forger l’arme du crime en se dérobant devant sa signification native.

    Bisou Nounours, Joel

    Réponse
  122. Certes, mais je continue à penser que par une étrange contagion ondulatoire, le coup de pied dans les couilles contribue grandement à remettre les idées en place.

    Réponse
  123. Certes, mais je continue à penser que par une étrange contagion ondulatoire, le coup de pied dans les couilles contribue grandement à remettre les idées en place.

    Réponse
  124. @74 – Agnès a dit : « Oui, bien sûr, faut continuer à respecter le couvre-feu, à raser les murs le soir, à ne pas boire, ne pas s’habiller sexy et à croiser les doigts pour que la concupiscence de l’homme ne s’abatte pas sur soi, mais plutôt sur une autre… plus dévergondée ».

    La question à se poser c’est pourquoi s’habiller sexy si on ne veut pas que la fameuse concupiscence s’abatte sur soi ? Tu veux avoir la capacité de choisir après l’avoir excitée, c’est ça ? Ça me rappelle la main sur mon genou d’un mec alors que j’étais habillé en militaire. J’ai fui comme un lâche alors qu’on m’élevait pour devenir un héros couillu.

    Autre question. Tu l’as déjà fait "le coup de pied dans les couilles", Agnès, ou c’est un fantasme ?

    Réponse
  125. Le coup de pied dans les couilles est, je pense, le meilleur outil pédagogique. Il apprend à la femme qu’elle a les moyens de se défendre contre un homme, et il apprend au monsieur qu’il vaut mieux réfléchir et séduire plutôt que forcer. Ceci dit, attention: moi qui suis un mec, macho sur les bords, je peux vous dire que nous nous faisons attention à nore matériel. Se prendre un coup dans les noisettes, c’est trè douloureux, ça coupe les pattes, et c’est très humiliant, surtout quand il est donné par une (supposée) faible femme. Nous protégeons donc instinctivement nos bijoux, et il n’est pas aisé de les atteindre efficacement, à moins de frapper par surprise.
    Donc attention: frappez à coup sûr et très fort. Et inutile de traîner dans les parages.

    Réponse
  126. Dire que vous êtes tous par le présent en train de trahir les idéaux de la libération, où pour que chaque génération doit tout faire , après le terrible, cyclone des années quarante, pour accomplir un acte généreux, faire en sorte que nous vivions tous dans un monde meilleur.
    Vous me dégoûtez, à en vomir! Surtout ces gaupes, ces gotons, ces ménades, ces pie-grièches, ces ribaudes et autres gourgandines qui puisqu’elles sont putes et putains et fières de l’être reprochent toujours à l’homme d’exister. EN oubliant une seule chose c’est que sans hommes il n’y a pas de société, il n’y a pas de garces qui sont toutes fières de devenir chipies. Tout simplement parce que cela les amusent comme celaa amusaient les nippons nationalistes, les fascistes italiens, les nazi et leurs forces de frappes SS et WaffenSS enfin les bolchevics qui lorsqu’ils mettaient mains sur les prisonniers parlaient comme ces putes, ces gaupes, ces ménades, ces ribaudes et autres gourgandines et à appliquer violences tels qu’ils l’ont décidés, elles font la même chose. Elles sont SS,NAZI,Bolcheviques,Fascistes et violent comme les japonnais! Par cela elles trahissent les hommes qui au temps des ombres ce sont battus pour la liberté et vivre en paix! Et je dis bien homme et non femmes car toutes ont couchées avec les occupants qu’ils soient nippons, italiens, allemands, mongôles et anglais, toutes! Et ces un fait dès plus avéré car dans chaque ville de moyenne importance il y avait jusqu’à dix bordel pour le soldat allemand y compris les officiers. D’ailleurs les femelles qui y travaillaient y étaient sous contrat de quatres mois renouvelables et où elle gagnaient de 300 000 à 1 million de Reichsmarks! Je pense que tous le monde comprend qui a combattu et qui a collaboré!

    Réponse
  127. comment tant de haine peut-il sortir en un seul commentaire?
    Homo, tu ferais mieux de te faire soigner…

    Réponse

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