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Silence et recueillement

Par Agnès Maillard
25 août 2005

Il y a des fois où les mots ne suffisent plus. Il y a des fois où l’on regrette que cette belle saillie ne soit pas sortie directement de son clavier. Il y a des fois où dans l’immensité du Web, on se sent moins seul. Il y a des fois où l’on va lire le dernier coup de gueule de Torpedo avec beaucoup de respect et un peu d’envie!

19 Commentaires

  1. Bien vu, ma grande ! Je comprend ton respecte et « un peu d’envie », hihi, jalouse !!! Bises à toi, à ta p’tite puce et à ton ours…

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  2. Vu la place un certain organe de l’auteur, « saillie » était le mot juste.

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  3. cobab -> je ne laisse rien au hasard!;-)
    nathalie -> Tu te fais rare, ma poule! Qui vais-je bien pouvoir martyriser sur le net si tu n’y es plus ;-p

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  4. Je ne vois vraiment ce que tu trouves d’interressant chez Torpedo. Tu parles de respect, lui n’en a pas. tu parles d’envie : tes argumentations sont dignes des meilleures analyses des meilleurs journalistes professionnels. Chez Torpedo, il n’y ne a pas une seule. Et même pire, chez lui ot perçoit le fachisme sous jacent. J’y ais laissé d’ailleurs mon point de vue: dont voici la copie.

    « Je suis venu lire ton post car Agnès en parlait avec très grand respect. Je me suis dit que cela m’apprendrait surement pas mal de choses, que j’aurais la possibilité de réfléchir encore. Mais en fait dans ton post, je constate qu’il y a une absence totale de démonstration dans toutes tes argumentations. Nonobstant le fait que la réussite de certains de déplaise, je constate que n’avance pas beaucoup d’idée pour faire progresser la société. Si ce n’est que les quelques arguments dualistes simplistes ultra réchauffés. J’apprécie également ton talent pour les amalgames. Tu utilises les ficelles les plus grosses du populisme. Mettre en corrélation deux éléments que rien ne lie mais que tu affirmes commes l’étant : dépolitisation des jeunes / réussite de jeunes créateurs d’entreprise. D’ailleurs cette opposition est très interressante sur ton état psychiatrique. Il y aurait de la frustration la dessous ? … La comparaison patronat / préhisoire est trop simpliste pour être interressante. De plus , si tu connaissais la préhistoire – naissance de l’art, de la religion, de la civilisation, tu ne l’aurais pas avancée. Le passage les patrons exploitent les salariés, digne du meilleur discourt pro-stalinien du PCF des années 70 n’est même pas à relever. Le plus alarmant vient après. Ton discours devient plus méprisant, avec un peu de haine avec un soupçon de vulgarité. Ton seul argument contradictoire : le propos sur le syndicaliste. Comme un peu éculé, tu montre également que tu n’as pas conscience de l’action des syndicats dans la société. Ne servent-ils qu’a revendiquer? Tu sembles ne pas connaitre le monde du travail: Co-gestion, élaboration des conventions collectives, prud’hommes etc.

    C’est pourquoi, mon cher Torpedo, tu n’es absolument pas crédible.

    - absence totale de proposition

    – dénigrement des personnes actives, qui construisent l’avenir. – utilisation de termes méprisant et vulgaire (champs lexical sexuel) – faiblesse de l’argumentation contradictoire basée sur une opposion dualiste voire manichéenne. – absence totale d’analyses appronfondies provenant de sources crédibles.

    En conclusion : Torpedo, tu respectes toute les facettes de l’action fachiste minoritaire. Mépris, haine, sexisme et idéologie simpliste pré-digérée. »

    C’est peut-être ce paradoxe qui t’attire, comme Simone et son Texan.

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  5. Bonjour Free Tibet.
    On ne peut pas réduire Torpedo à ce seul billet, qui est un grand coup de gueule comme il est parfois bon d’en avoir. Ce qu’il décrit, la manière dont il le décrit te choque. C’est fait exprès. Parce qu’effectivement, personne ne se choque de l’espèce de mythe du surhomme qui s’est construit autour de la figure archétypale de l’entrepreneur idéalisé, la force vive de machin chouette, pendant que l’on dénigre sans cesse ceux qui produisent réellement la richesse et particulièrement ceux qui ont été subitement et malgré eux, privé de leur moyen de subsistance : le travail! Aujourd’hui, on encense les winwins qui font du profit en vidant les gens des entreprises et en s’implantant là où l’exploitation de l’homme par l’homme est la plus féroce, la plus sauvage et on stigmatise leurs victimes. Et tout le monde trouve ça normal. Qu’un sénateur traite les chômeurs de fainéants, ça ne choque plus personne. Qu’un patron se barre au bout de 3 mois de non boulot avec une indemnité de 43 millions de dollars, ça ne choque plus personne et qu’après ça, on fasse chier des caissière en minutant leur pose-pipi, ça semble totalement normal.
    Rien de tout ça n’est normal. Et parfois, il est bon que quelqu’un crie sa révolte, même si c’est en des termes fleuris (ou surtout?? 😉 ).

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  6. Agnès, le coup de gueule tout ça, j’apprécie, j’aime, je respecte.. Mais, le refus d’analyser, faire des démonstration à la W, on sait ou cela mène. Reconnais quand même que coté réflexion, c’est le niveau zéro. Coté échange et construction c’est zéro. Torpedo, il devrait émigrer en Corée du Nord, ou à Cuba, il serait heureux. Quand je vois des post comme ça, je pousse aussi des coups de gueule, mais j’argumente et je démontre, comme toi.

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  7. Bonjour sa majesté Oui toi t’est super beau t’est super intelligent et tout et tout… A côté Narcisse c’est un modèle de manque de confiance en soi.

    C’est sûr que ton argument du genre « Va faire ta révolution… On en parlera après » (28.08.05 @ 17:21) c’est imparable. Après ça on ne peut être que bouche bée. C’est quoi cette engeance qui n’accepte pas ta suffisance alors que tu as daigné « prendre un peu de ton temps pour laisser ton point de vue »

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  8. C’est la seule réponse que j’ai touvé après m’être fait insulté : « C’est pourquoi mon cher machin, je t’emmerde. Respectueusement. »

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  9. « D’ailleurs cette opposition est très interressante sur ton état psychiatrique. Il y aurait de la frustration la dessous ? … »

    « Torpedo, tu respectes toute les facettes de l’action fachiste minoritaire »

    Mettre en doute son état psychiatrique et qualifier son action de « fasciste » c’est beaucoup plus insultant que des mots grossiers (en outre on ne peut pas dire de quelqu’un qu’il prône un discours pro-stalinien et en même temps dire que son action est fascisante, les deux etant à l’opposé sur l’échiquier politique, si il y a extrême c’est d’un côté ou de l’autre. Le plus drôle c’est que ton dénigrement sur la base d’un état psy instable c’est historiquement une méthode pro-stalinienne…)

    Ce n’est pas parce-que le style n’est pas académique que pour autant il n’est pas pertinent (il y en aurait donc tellement qui se trompent parmi ceux qui lui donnent raison?) La vulgarité fait partie de la langue française que tu le veuille ou non (ne pas oublier qu’à l’origine le vulgaire est l’homme du peuple) Le discours n’a pas la même rigueur ‘structurelle » que ton discours, et alors? au moins il y a de la verve.

    Tu as pu constater que la violence verbale à répondu à la violence verbale

    Réponse
  10. Certe,

    qui a dit que les extrêmes se rejoigne?

    Quel corps politique à le plus fourni d’élements au FN?

    Pourquoi le FN se proclame-t-il premier parti ouvrier de France ? – Ce qui est vrai et accepté par le PCF.

    Quand à l’histoire du psychiatrique, je parlais de la relation de cause à effet que Torpedo fait de la dépolitisation des jeunes et réussite de jeune créateur d’entreprises. Je soumettais l’hypothèse d’une frustration / névrose, qui relève de la psychiatrie légère.

    
    

    Quand au vulgaire, il faut le prendre au sens actuel du terme, car sinon on n’a pas fini les quiproquos. Et en aucun cas le vulgaire est une insulte. Mais le but d’une insulte est d’exprimer son mépris, et par la le non-respect de l’opinion de la personne en face.

    D’ailleurs c’est avec grand plaisir que je lisait l’interview de Alain SOUCHON dans le monde 2. Après sa prestation à Telerama et son entrevue avec Besancenot.

    extrait:

     » LM2 : Et avec Arlette LAGUILLER, c’est fini? Vous semblez préférez désormais Olivier BESANCENOT …

    AS : J’ai été choqué lorsqu’entre les deux tours de la dernière élection présidentielle, Arlette a déclaré qu’il ne fallait pas forcément voter Chirac. Cela me semblait pourtant la moindre des choses face à Le pen! J’ai donc décidé de ne plus interpréter cette chanson. Cela dit, ça vaut toujours le coup de continuer à cherche à construire un autre monde sans pour autant s’appuyer sur de vieux machins comme le trotskisme. BESANCENOT, lui me fascine. IL a une tête sympa. Il parle comme s’il avait étudié à sciences Po pendant 15 ans et se fait photographier en facteur. Il explique que les riches sont méchants et que les pauvres gentils. C’est une invention géniale! On dirait qu’il sort d’un casting organisé par Jacques SEGUELA.

    Réponse
  11. « qui a dit que les extrêmes se rejoigne? »

    Réponses :

    A.Toi B.Pas moi C.Alain Souchon D.Obi wan kenobi

    je vais appeler un ami… allez une petite chanson :

    Oh la la la vie en rose Le rose qu’on nous propose D’avoir les quantités d’choses Qui donnent envie d’autre chose Aïe, on nous fait croire Que le bonheur c’est d’avoir De l’avoir plein nos armoires Dérisions de nous dérisoires car

    Foule sentimentale On a soif d’idéal Attirée par les étoiles, les voiles Que des choses pas commerciales Foule sentimentale Il faut voir comme on nous parle Comme on nous parle

    Il se dégage De ces cartons d’emballage Des gens lavés, hors d’usage Et tristes et sans aucun avantage On nous inflige Des désirs qui nous affligent On nous prend faut pas déconner dès qu’on est né Pour des cons alors qu’on est Des

    Foules sentimentales Avec soif d’idéal Attirées par les étoiles, les voiles Que des choses pas commerciales Foule sentimentale Il faut voir comme on nous parle Comme on nous parle

    On nous Claudia Schieffer On nous Paul-Loup Sulitzer Oh le mal qu’on peut nous faire Et qui ravagea la moukère Du ciel dévale Un désir qui nous emballe Pour demain nos enfants pâles Un mieux, un rêve, un cheval

    Foule sentimentale On a soif d’idéal Attirée par les étoiles, les voiles Que des choses pas commerciales Foule sentimentale Il faut voir comme on nous parle Comme on nous parle

    Réponse
  12. Dans mon message précédents, je posais des questions.

    Le but est de chercher des réponses.

    Au vu des propositions que tu me fais, je suppose que tu n’en as pas trouvé. En 10 secondes et 2 pages de google, je te trouve ça, et ça, et ça, et ça, et ça; il doit surement en avoir d’autre qui parlent du sujet.

    Pour ma part, je pense que les extrèmes se rejoignent car elles ont en commun le rejet d’un partie de la société – très souvent par la haine dont Torpedo est un exemple, elles cultivent le culte de l’individu et la technique du bouc émissaire.

    Pour venir en aide à Alain SOUCHON : Le trotskisme , est une vieille idée qui défend la dictature du prolétariat – Cette notion de prolétariat est complétement obsolète – prolétaire : nm personne qui vit de son travail. Un chômeur n’est pas un prolétaire – c’est toi qui aime l’ethymologie.

    Si on veut donc moderniser le terme de prolétaire, on l’adapte à travailleur pauvre (non, pas de chomeurs), ou alors à pauvre
    tout court. Mais alors les classes moyennes qui ne rentrent pas dans la classification Marxienne de la minorité possèdant le capital,

    ou les placent-on?

    Elle ne sont pas esclavagistes, elles ne possèdent pas le K, elles ne ruinent pas les pauvres etc.

    Par contre, elles représentent la majorité des « prolétaires ».

    C’est pourquoi la dictature du prolétariat n’est pas démocratique ou alors dans un autre sens elle est réalisée.

    PS : pour les paroles d’Alain SOUCHON, merci, je les avaient déjà.

    Réponse
  13. Justement, en parlant d’éthymologie, à l’origine, le chômeur est un travailleur qui se repose. Plus largement aujourd’hui, c’est un travailleur temporairement privé d’emploi. Toute la problématique est dans le temporairement, tant il y a de travailleurs qui ne sont que temporaires, tant et si bien que c’est le travail qui tend à devenir un état passager et le chômage un statut!
    Le fait de chômer n’est vraiment génant que pour le prolétaire, celui qui vit de son travail, puisque le voilà privé des moyens d’accéder à une existence digne, et ce ne sont pas les revenus de la solidarité nationale, maintenus strictement sous le seuil de pauvreté qui y changent quoi que ce soit. Un rentier qui chôme, ce n’est pas bien grave, la même chose pour un héritier ou un actionnaire.
    Donc le chômeur est bien un prolétaire…

    Réponse
  14. Interressant l’éthymologie de prolétaire effectivement.

    Si j’en crois ce dictionnaire : ethymologiquement, un chômeur est un prolétaire; marxiennement parlant, ce n’est en est pas un. D’un point de vue moderne, on peut appeller prolétaire les personnes dont le niveau est inférieur à un seuil.

    Le problème ne réside donc pas dans l’appellation mais dans le niveau de vie.

    C’est pourquoi le trotskisme est comme l’appellation marxienne du prolétaire : obsolète.

    Réponse
  15. « Dans mon message précédents, je posais des questions. Le but est de chercher des réponses. » La Palice.

    « Au vu des propositions que tu me fais, je suppose que tu n’en as pas trouvé. En 10 secondes et 2 pages de google, je te trouve ça, et ça, et ça, et ça, et ça » Je sais mes propositions ne sont pas à la hauteur de ta personne. Je l’ai dit plus haut tu es le plus beau le plus intelligent je rivalise pas. D’ailleurs je savais pas ce que c’était un moteur de recherche je croyais que gogol était un écrivain…

    C’est quoi cette fixation sur Torpedo, le trotskisme, l’extrême gauche. C’est un reflexe pavlovien chez toi de lever la pancarte « pas crédible » dès qu’un bélzébuth rouge (supposé ou confirmé) ouvre la bouche et d’appeler Souchon à la rescousse? Enfin je comprend moi je fais une fixation sur le jean claude vandamisme…

    « les extrêmes…cultivent le culte de l’individu et la technique du bouc émissaire. » Les capitalistes cultivent le culte du winner, de l’individualisme et montre du doigt le chomeur : le capitalisme est un extêmisme? il rejoindrait les autres extrêmes en rejetant la partie la plus pauvre de la société ? le medefisme parodié : http://lecailloudanslachaussure.blogspot.com/

    Oui j’aime l’ethymologie avec du sel et bien cuit.

    http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/information/chroniques/chronique/archives_rey.php?chronique_id=50

    Avant que j’oubli un texte interessant sur la psychiatrie (j’espère que c’est pas encore un infame gauchiste qui l’a ecrit) : http://www.oulala.net/Portail/article.php3?id_article=1853

    Quant aux paroles d’Alain Souchon c’était pas pour te les donner mais pour mettre une ambiance musicale.

    Après la musique , autre chose pour désserer un peu les fesses : Blague 1

    Supposons 2 vaches :

    SOCIALISME : Vous avez deux vaches. Vos voisins vous aident à vous en occuper et vous vous partagez le lait. COMMUNISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous fournit en lait. FASCISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous vend le lait. NAZISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend la vache blonde et abat la brune. DICTATURE : Vous avez deux vaches. Les miliciens les confisquent et vous fusillent. FEODALISME : Vous avez deux vaches. Le seigneur s’arroge la moitié du lait. DEMOCRATIE : Vous avez deux vaches. Un vote décide à qui appartient le lait. DEMOCRATIE REPRESENTATIVE : Vous avez deux vaches. Une élection désigne celui qui décidera à qui appartient le lait. DEMOCRATIE DE SINGAPOUR : Vous avez deux vaches. Vous écopez d’une amende pour détention de bétail en appartement. ANARCHIE : Vous avez deux vaches. Vous les laissez se traire en autogestion. CAPITALISME : Vous avez deux vaches. Vous en vendez une, et vous achetez>>un taureau pour faire des petits. CAPITALISME DE HONG KONG : Vous avez deux vaches. Vous en vendez trois à votre société cotée en bourse en utilisant des lettres de créance ouvertes par votre beau-frère auprès de votre banque. Puis vous faites un « échange de dettes contre participation », assorti d’une offre publique, et vous récupérez quatre vaches dans l’opération tout en bénéficiant d’un abattement fiscal pour entretien de cinq vaches. Les droits sur le lait de six vaches sont alors transférés par un intermédiaire panaméen sur le compte d’une société des îles Caïman, détenue clandestinement par un actionnaire qui revend à votre société cotée les droits sur le lait de sept vaches. Au rapport de la dite société figurent huit ruminants, avec option d’achat sur une bête supplémentaire. Entre temps vous abattez les deux vaches parce que leur horoscope est défavorable. CAPITALISME SAUVAGE : Vous avez deux vaches. Vous équarrissez l’une, vous forcez l’autre à produire autant que quatre, et vous licenciez finalement l’ouvrier qui s’en occupait en l’accusant d’avoir laissé la vache mourir d’épuisement. BUREAUCRATIE : Vous avez deux vaches. Le gouvernement publie des règles d’hygiène qui vous invitent à en abattre une. Après quoi il vous fait déclarer la quantité de lait que vous avez pu traire de l’autre, il vous achète le lait et il le jette. Enfin il vous fait remplir des>>formulaires pour déclarer la vache manquante. ÉCOLOGIE : Vous avez deux vaches. Vous gardez le lait et le gouvernement vous achète la bouse. FEMINISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous inflige une amende pour discrimination. Vous échangez une de vos vaches pour un taureau que vous trayez aussi. SURREALISME : Vous avez deux girafes. Le gouvernement exige que vous leur donniez des leçons d’harmonica. CAPITALISME EUROPEEN: On vous subventionne la première année pour acheter une 3eme vache. On fixe des quotas la deuxième année et vous payez une amende pour surproduction. On vous donne une prime la 3eme année pour abattre la 3eme vache. MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE BRITANNIQUE: Vous tuez une des vaches pour la donner à manger à l’autre. La vache vivante devient folle. L’Europe vous subventionne pour l’abattre. Vous la donnez à manger à vos deux moutons. CAPITALISME A LA FRANCAISE: Pour financer la retraite de vos deux vaches, le gouvernement décide de lever un nouvel impôt : la CSSANAB (cotisation sociale de solidarité avec nos amis les bêtes). Deux ans après, comme la France a récupéré une partie du cheptel britannique, le système est déficitaire. Pour financer le déficit on lève un nouvel impôt sur la production du lait : le RAB (Remboursement de l’Ardoise Bovine). Les vaches se mettent en grève. Il n’y a plus de lait. Les français sont dans la rue : « DU LAIT ON VEUT DU LAIT » La France construit un laitoduc sous la manche pour s’approvisionner auprès des Anglais. L’Europe déclare le lait anglais impropre à la consommation. Le laitoduc ne servira jamais. On lève un nouvel impôt pour l’entretien du laitoduc.

    – Blague 2

    LA SCENE : Un poulet au bord d’une route. Il la traverse. QUESTION : Pourquoi le poulet a-t-il traversé la route ?

    REPONSES : RENE DESCARTES : Pour aller de l’autre côté. PLATON : Pour son bien. De l’autre côté est le Vrai. ARISTOTE : C’est dans la nature du poulet de traverser les routes. KARL MARX : C’était historiquement inévitable. HIPPOCRATE : A cause d’un excès de sécrétions de son pancréas. MARTIN LUTHER KING, JR.: J’ai la vision d’un monde où tous les pouletsseraient libres de traverser la route sans avoir à justifier leur acte. MOISE : Et Dieu descendit du paradis et Il dit au poulet: « Tu dois traverser la route ». Et le poulet traversa la route et Dieu vit que cela était bon. SIGMUND FREUD : Le fait que vous vous préoccupiez du fait que le poulet a traversé la route révèle votre fort sentiment d’insécurité sexuelle latente. BILL GATES : Nous venons justement de mettre au point le nouveau #Poulet Office 2000#, qui ne se contentera pas seulement de traverser les routes, mais couvera aussi des oeufs, classera vos dossiers importants, etc. GALILEO GALILEI : Et pourtant, il traverse… JOSPIN PREMIER MINISTRE : Mais vous m’énervez à la fin ! vous voyez quand même bien que c’est beaucoup plus grave que d’avoir été trotskiste dans sa jeunesse ! FABIUS : Nous allons taxer cette nouvelle activité des poulets, le ministère que je dirige hésite encore entre le taux normal ou le taux majoré de TVA. CANTONA : Le poulet, il est libre le poulet. Les routes, quand il veut il les traverse. JACQUES CHIRAC : Parce que je n’ai pas encore dissous la route. Arlette LAGUILLER : Travailleuses, travailleurs, vous savez ce qu’il faut en penser ! L’ABBE PIERRE : les poulets ont du mal à se loger, alors ils traversent les routes à la recherche d’un toit, d’un travail… Robert HUE : le Premier Mai les poulets traversent les routes pour vendre du muguet ce qui renfloue les caisses du parti. Alain MADELIN : Le libéralisme saura mettre de l’ordre dans cette anarchie Alain JUPPE : Pour un franc je me débarrasse de la route qui ne vaut pas plus et le poulet n’aura plus de route à traverser. Martine AUBRY : en 35 heures le poulet traversera presque autant de routes qu’en 39 Dominique VOYNET : Grâce au ministère que je dirige la chasse au poulet était interdite… Jules CESAR : je refuse d’être comparé à un poulet ! c’est le Rubicon moi, que j’ai traversé ! L’EGLISE DE SCIENTOLOGIE : La raison est en vous, mais vous ne le savezpas encore. Moyennant la modique somme de 10000 F par séance, plus la location d’un détecteur de mensonges, une analyse psychologique nous permettra de la découvrir. IBM : Nous proposons de construire une infrastructure technique permettant aux poulets de traverser les routes. Un cluster de 5 serveurs massivement parallèles à tolérance de panne, reliés par un réseau FDDI, avec 10 To de disques RAID devrait suffire. Côté logiciel, il faudra approvisionner une centaine de licences DB2, Netview et Visual Age, carces produits sont en totale adéquation aux besoins de traversée des routes, moyennant une prestation d’adaptation mineure de 25 années hommes (tarif : 8000 F HT /jour). BILL CLINTON : JE JURE sur la constitution qu’il ne s’est rien passé entre ce poulet et moi. G.W. BUSH : La route des USA est de ne pas signer ce protocole surl’effet de serres de poulets !

    Réponse
  16. Louis siffert, question socio-économie, tu n’es pas très interressant, mais pour l’humour pas mal.

    Réponse
  17. je sais socio-economiquement je ne suis pas intéressant comme tous ceux qui ne sont pas d’accord avec toi et que tu dénigres. mais par contre ta fatuité c’est un forme d’humour que j’aime bien surtout t’arrête pas.

    Réponse
  18. je peux pas j’ai pas ton niveau

    Réponse

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